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IBK PRIVE DE L’ESSENTIEL, DR BOUBOU CISSE, MOUSSA TIMBINE ET AUTRES EN DETENTION A KATI : LES PUTSCHISTES VEULENT-ILS « CROISER LE FER » AVEC LES CHEFS D’ETAT DE LA CEDEAO ?

Les putschistes du Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) ne sont pas sur la même longueur d’ondes que les Chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Ce qui est sûr et certain, ces Chefs d’Etat ne sont pas prêts à laisser faire les militaires putschistes qui veulent s’accrocher au pouvoir.

 

Depuis le Coup d’Etat du 18 Août 2020, connaissant bien les conséquences d’un militaire au pouvoir, les Chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ne cessent de mettre la pression sur les putschistes ayant mis fin au régime du Président IBK démocratiquement élu par le peuple malien. Ces militaires ont plus que jamais des ambitions afin de se maintenir au pouvoir.

Dans cette histoire de Coup d’Etat, si le Président IBK a pu regagner sa maison grâce à la pression de l’organisation sous -régionale, les putschistes continuent à torpiller l’ancien Chef d’Etat et à prendre en otage l’ancien Premier ministre, Dr Boubou Cissé, l’ancien président de l’Assemblée Nationale, Moussa Timbiné, des Généraux et autres.

Il ressort des constats que les membres du Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) sont en train d’utiliser ceux-ci comme des « boucliers humains » afin de mettre la pression sur la CEDEAO. Malheureusement cette pression ne fait pas peur aux Chefs d’Etat de l’organisation sous -régionale. Lors de la visio-conférence du vendredi 28 Août 2020, ceux-ci ont été catégoriques. Ils ont demandé aux putschistes d’engager une transition civile immédiatement en consultation avec la Cour Constitutionnelle, les Partis politiques, les Organisations de la société civile et tous les autres acteurs engagés dans le processus. Pour les Chefs d’Etat de cette organisation sous -régionale, cette transition civile doit prendre en compte des éléments, comme la nomination d’un Président de la transition.  Aussi ils maintiennent les sanctions concernant

« la fermeture de toutes les frontières terrestres et aériennes ainsi que l’arrêt de tous les flux et transactions économiques, financières et commerciales ».

Dans leur dynamique (…)

RETROUVEZ L’INTEGRALITE DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU LUNDI 01 SEPTEMBRE 2020

Tougouna A. TRAORE

NOUVEL HORIZON

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