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Renforcement des Famas : Six chasseurs bombardiers et six hélicoptères attendus !

Après un début de mandat presque chaotique voire catastrophique avec des scandales à répétition, le président IBK se tire d’affaire, petit à petit. Malgré encore la présence de quelques brebis galeuses dans son entourage. La preuve, le Mali devra recevoir dans un bref délai des avions de combat pour renforcer son arsenal militaire. Fruit de nos enquêtes.

avion chasseur bombardier

Il n’y a rien à dire, IBK a trainé, a trébuché mais il semble qu’il n’est pas tombé. Alors, bénéficiaire d’une situation difficile dont certains de ses proches ont enfoncé le clou, il se défait adorablement de ceux qui semblent saboter ses efforts.

Le départ forcé d’ATT du pouvoir ayant provoqué une débâcle des FAMAS et l’occupation des 2/3 du pays par des terroristes djihadistes a failli rayer le Mali de la carte du monde. Sauvé de justesse par la France et d’autres alliés, le Mali doit pouvoir renaitre avec IBK. Volontaire, engagé bien que budgétivore, le président IBK sera confronté à de haute trahison de ses propres amis. Finalement, il va perdre son élan avant de voir clair au fil du temps. Depuis quelques mois, la courbe devient ascendante en sa faveur dans la plus grande discrétion. La première preuve est la signature de l’accord à Bamako, bien que contesté par de nombreux compatriotes. Accord qui traine encore dans sa mise en œuvre, faute de moyens adéquats, nous dit-on.

Qu’à cela ne tienne, les rebelles se sont compris et commencent à comprendre et apprécier la démarche d’IBK et sa volonté d’un Mali UN ET INDIVISIBLE. Dans lequel, chacun doit avoir son compte. D’où prochainement, la tenue d’un forum sous les auspices du PM Modibo Kéïta à Kidal (27 au 30 mars) suivi d’un gouvernement d’ouverture. Déplacement du PM qui devra être le point d’orgue du quadrillage sécuritaire de tout le territoire national par les fils du pays.

Presque plébiscité pour la gestion de la crise et pour une armée vaillante bien équipée, IBK semble sur la voie de réaliser ce double rêve. La crise sera bientôt un mauvais souvenir. Pour l’autre grand objectif, de sources dignes de foi, le Mali sera bientôt dans le peloton de tête des pays mieux armés de la sous région. Déjà, depuis des mois, les formations se suivent sur le plan national. Aussi, certains jeunes officiers se trouveraient en France, en Allemagne, aux USA et en Russie pour le perfectionnement. Notamment dans la gestion des avions et d’autres sophistiquées, nous révèle-t-on.

L’ACQUISITION DE VERITABLES ARSENAUX

Depuis un certain temps, nous étions en train d’enquêter sur l’arrivée prochaine d’avions pour notre armée. Ayant reçu de nombreuses confirmations depuis l’hexagone et confirmées à différents niveaux de la haute sphère politique et militaire, nous avions jugé opportun de balancer l’information. Sans vouloir être trop direct, il nous est revenu qu’IBK a presque fini avec cette situation. Puisqu’il nous a été dit ceci : “Au moment où les uns et les autres crient, IBK a le souci d’avoir une armée professionnelle et bien équipée. L’acquisition de certains appareils nécessite 18 mois d’enquêtes, d’essais et beaucoup d’autres choses. Sinon, le Mali aura bientôt six chasseurs bombardiers et six hélicoptères de combat.

QU’EST-CE QU’UN CHASSEUR

BOMBARDIER ET UN HELICOPTERE ?

– Un chasseur-bombardier est un avion multirôle, capable d’attaquer des cibles terrestres à l’aide de son armement air-sol, en plus de sa capacité au combat aérien proche de celle d’un avion de chasse.

– Un hélicoptère est un aéronef dont la sustentation et la propulsion sont assurées par une voilure tournante, couramment appelé rotor, et entraînée par un ou plusieurs moteurs.

La majorité des hélicoptères utilise un seul rotor de sustentation et un rotor anticouple, les autres solutions sont bi-rotors contrarotatifs placés sur le même axe, sur deux axes convergents, en tandem ou sur les côtés.

L’histoire de l’hélicoptère commence au début du XXe siècle mais les progrès sont nettement plus lents que ceux de l’avion. L’utilisation intensive des hélicoptères en Algérie et au Viêt-Nam et le développement des turbomachines marquent un tournant majeur pour apporter la preuve de ses capacités opérationnelles civiles ou militaires.

Comparé aux aéronefs à ailes fixes, l’hélicoptère est d’une conception plus complexe, sa maintenance plus exigeante et le coût de l’heure de vol plus élevé. Son aptitude à pouvoir décoller et atterrir sur des terrains étroits et non préparés le rend indispensable pour certaines missions et fonctions malgré son autonomie et sa vitesse réduites.

L’histoire de l’hélicoptère et autres voilures tournantes commence au début du XXe siècle, comme pour l’avion. Mais l’insuffisance de la puissance des moteurs et les problèmes de stabilité rendent les développements beaucoup plus longs et aléatoires. En dehors de la parenthèse des autogires, l’hélicoptère ne prouve son efficacité potentielle qu’au cours de la Seconde Guerre mondiale.

Les guerres menées par les États-Unis en Corée et au Viêt Nam démontreront son intérêt militaire pour les missions de pénétration, d’appui-feu, de lutte anti-chars et pour le secours des blessés. Sur le plan technique c’est l’apparition des turbomachines permettant le développement d’appareils plus lourds, plus rapides et plus fiables qui donne à l’hélicoptère une place importante au sein des forces armées, de police ou de douane de beaucoup de pays. Sur le plan civil, en raison du coût très élevé de l’heure de vol et de la maintenance seuls quelques privilégiés profitent de ce moyen qui reste réservé à des applications très particulières.

Source: Zenith Balé

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