Il y a certains coins, dans le quartier de Missira, en Commune II du District de Bamako, qui ont l’accès très difficile pendant cette période d’hivernage. Ce, après la pluie.
Pour cause, des vendeuses de légumes frais du marché de Médine déversent leurs produits pourris dans l’eau de ruissellement inondant ainsi tout le quartier.
Actuellement, les Habitants de Missira se plaignent de cette situation qui prévaut chaque année, dans leur quartier. Précisément, au moment de la saison des pluies. Ils se plaignent des conséquences immenses de l’état de
Il y a certains coins, dans le quartier de Missira, en Commune II du District de Bamako, qui ont l’accès très difficile pendant cette période d’hivernage. Ce, après la pluie. Pour cause, des vendeuses de légumes frais du marché de Médine déversent leurs produits pourris dans l’eau de ruissellement inondant ainsi tout le quartier.
Actuellement, les Habitants de Missira se plaignent de cette situation qui prévaut chaque année, dans leur quartier. Précisément, au moment de la saison des pluies. Ils se plaignent des conséquences immenses de l’état de leurs rues et ruelles, de leurs maisons. Cette situation qu’ils vivent il y a de nombreuses d’années et dont la cause principale est due surtout aux actes d’incivisme que commettent journellement ces vendeurs et vendeuses des légumes frais au marché de Médine (Sugu-coura), à la place « des Sikasso », en plus de certains personnes de mauvaise foi qui s’occupent de la gestion des toilettes publiques installées au niveau de ce marché de Médine. Des comportements qui obstruent les tuyaux des collecteurs devant vider les latrines. Quant il commence à pleuvoir, ces femmes vendeuses de légumes profitent pour faire évacuer leurs marchandises pourries avec une odeur insupportable dans les caniveaux. Ce qui bloque les passages des eaux usées jusqu’à ce qu’elles dévient de leurs trajets naturels pour inonder les enceintes des domiciles et lieux de travail d’autrui avec de nombreux dégâts matériels. Ainsi, les rues sont remplies des tas d’ordures de légumes pourris.
Par ailleurs, après l’arrêt des pluies, place à la boue, aux eaux stagnantes et usées le long des rues, ruelles et artères principales du quartier où tout porte à croire que l’esprit de civisme, au plan hygiénique, fait cruellement défaut dans ce quartier situé au cœur du centre commercial de Bamako. Une réalité qui cause trop de problèmes dans les différentes familles où la misère s’aggrave d’une saison à une autre. Voire à chaque fois qu’il pleut sur la ville de Bamako. La solution à ce problème récurrent passe obligatoirement par l’instauration d’une Politique de bonne gestion hygiénique du marché de Médine par les commerçants et l’autorité publique compétente.
Fatoumata Bintou Tounkara, Stagiaire : LE COMBAT
leurs rues et ruelles, de leurs maisons. Cette situation qu’ils vivent il y a de nombreuses d’années et dont la cause principale est due surtout aux actes d’incivisme que commettent journellement ces vendeurs et vendeuses des légumes frais au marché de Médine (Sugu-coura), à la place « des Sikasso », en plus de certains personnes de mauvaise foi qui s’occupent de la gestion des toilettes publiques installées au niveau de ce marché de Médine. Des comportements qui obstruent les tuyaux des collecteurs devant vider les latrines. Quant il commence à pleuvoir, ces femmes vendeuses de légumes profitent pour faire évacuer leurs marchandises pourries avec une odeur insupportable dans les caniveaux. Ce qui bloque les passages des eaux usées jusqu’à ce qu’elles dévient de leurs trajets naturels pour inonder les enceintes des domiciles et lieux de travail d’autrui avec de nombreux dégâts matériels. Ainsi, les rues sont remplies des tas d’ordures de légumes pourris.
Par ailleurs, après l’arrêt des pluies, place à la boue, aux eaux stagnantes et usées le long des rues, ruelles et artères principales du quartier où tout porte à croire que l’esprit de civisme, au plan hygiénique, fait cruellement défaut dans ce quartier situé au cœur du centre commercial de Bamako. Une réalité qui cause trop de problèmes dans les différentes familles où la misère s’aggrave d’une saison à une autre. Voire à chaque fois qu’il pleut sur la ville de Bamako. La solution à ce problème récurrent passe obligatoirement par l’instauration d’une Politique de bonne gestion hygiénique du marché de Médine par les commerçants et l’autorité publique compétente.
Fatoumata Bintou Tounkara, Stagiaire
Source: LE COMBAT