Le concept de « Développement Durable » est né d’un long processus de prise de conscience des impacts négatifs des activités humaines sur les milieux naturels, faune, flore, milieux aquatiques et atmosphérique. Les résultats de ce programme reposent sur 17 ODD à atteindre d’ici à 2030. En effet, à partir du rapport du Club de Rome (1972), The Limits to Growth, qui en français « signifie Halte à la croissance », un large et long débat international devait déboucher sur le concept d’écodéveloppement puis à celui de Développement Durable. « Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ».
Dans la dimension environnementale un accent a été mis sur les mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques qui constituent une dure réalité dans notre pays. A cela s’ajoute les questions liées aux énergies renouvelables, l’eau, l’assainissement et la préservation des ressources naturelles. Des défis environnementaux auxquels notre pays fait face depuis quelques années.
Pour rappel, les activités contribuant à la dégradions de notre cadre de vie s’inscrit comme suit : l’utilisation sans limite des ressources naturelles non renouvelables (pétrole, gaz, minerais…)
Le prélèvement des ressources naturelles potentiellement renouvelables (eau douce, forêts, stocks de poisson…) à un rythme non compatible avec leurs rythmes naturels de renouvellement. Le rejet de polluants solides, liquides ou gazeux sur les sols, les eaux et l’atmosphère sans tenir compte de leurs capacités d’absorption.
Assitan Siga FADIGA
Source: Bamakonews