Régulièrement cité comme une cible potentielle, le Sénégal a musclé son dispositif sécuritaire après les attentats de Ouagadougou et de Grand-Bassam, en janvier et mars 2016.
Considéré par beaucoup comme le prochain sur la liste, le pays de la Teranga a pour l’instant été épargné. « Ils auraient pu baisser la garde, mais cela n’a pas été le cas. Ils maintiennent le même niveau de vigilance depuis trois ans », assure une source sécuritaire occidentale basée à Dakar.
JA