Lors de la conférence de presse tenue le mercredi 17 juillet dernier à Bamako, les facilitateurs du dialogue politique inclusif ont souligné que le cas Amadou Aya Sanogo ne sera pas sujet lors des débats sauf si les acteurs le suggèrent. Toute chose qui, si l’on se réfère à l’essence des choses, serait un transport d’un autre problème dans le futur.
Depuis 2012, l’année de l’invasion du territoire malien par les forces obscurantistes et leurs alliés : les groupes armés indépendantistes et . . .Lire la suite sur nordsudjournal.com