L’attaque meurtrière du dimanche 17 mars contre les positions de l’armée à Dioura n’en finit pas de susciter des interrogations en raison de la bonne coordination des opérations, de la diversité des armes utilisées et du nombre d’assaillants qui y ont pris part. Tous les observateurs s’accordent pour dire que c’est l’attaque terroriste la plus meurtrière à laquelle les FAMas ont été confrontées depuis celle de 2014 à Kidal lors de la visite de l’ancien Premier ministre Moussa Mara. Les assaillants ont dû bénéficier du soutien des éléments incontrôlés de la CMA pour mener leur forfait, selon plusieurs observateurs.
lire la suite dans l’Indépendant
Source: L’Indépendant