Alors que la candidature du Président Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat est agitée, Paris ne soutient « ni mandat ni candidat » et ne prend pas position pour un pays, même aussi proche que l’Algérie.
Au moment-même où la candidature du Président Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat est agitée, Paris ne soutient « ni mandat ni candidat » et ne prend pas position pour un pays, même aussi proche que l’Algérie. Ce sont les confidences faites par une source de Liberté-Algérie. En clair, Paris se garde de froisser Alger et de s’impliquer dans des questions qui agitent la scène politique nationale, comme par exemple l’éventualité d’un cinquième mandat pour le Président Abdelaziz Bouteflika, écrit le site.
La source du journal est formelle : c’est « l’affaire des Algériens (…). Ce qui concerne la France, c’est la stabilité de l’Algérie et une très forte volonté à continuer dans le dialogue politique qui se traduit par une très forte coopération dans tous les domaines pour permettre aux deux pays de vivre dans la sérénité ».
L’interlocuteur du site assure que la situation est suivie avec intérêt, soulignant qu’il appartient aux Algériens, et à eux seuls, de définir « la préparation, les candidats et les programmes ». Pour la source de Liberté-Algérie, l’important étant pour Paris que le climat de coopération se poursuive, quelle que soit l’issue de la prochaine élection.
Afrik.com