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2ème Congrès ordinaire de la CNAS-Faso Hèrè : Les retrouvailles de l’opposition pour Barrer la route à IBK en 2018

La convention nationale pour une Afrique solidaire (Cnas- Faso-Hèrè) a tenu son 2èmecongrès ordinaire le samedi 24 décembre 2016 à la maison des Aînées de Bamako. Son président d’honneur Zoumana Sacko n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour dénoncer la mauvaise  gouvernance du régime d’IBK.

 

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L’ouverture des travaux du  2ème congrès ordinaire de la Cnas-Faso-Hèrè (convention nationale pour une Afrique solidaire) a été animé par  différents  discours tous  dénonçant   la gestion actuelle du pays. Le secrétaire politique de la Cnas Faso Hèrè, Soumana Tangara et son président,   le Dr Zoumana Sacko, ne sont pas  allés avec le dos de la cuillère pour dénoncer la mauvaise gouvernance du régime d’IBK.  En effet, le Dr Sacko et tous les ténors de l’opposition ont tiré à boulet rouge sur le régime d’IBK.  De ces dénonciations, on retient l’insécurité caractérisée sur l’ensemble du territoire, la corruption généralisée, l’incompétence de la direction au sommet de l’Etat,  le tripatouillage  des communales de 2016  mais surtout  la polémique sur la légalité donc l’engagement de l’Etat malien sur la réadmission des sans-papiers maliens au bercail  qui alimente actuellement les débats  de la diaspora et d’ici.  Car pour le Dr Sacko, le communiqué conjoint du 11 décembre dernier entre le ministre malien des Affaires Etrangères  et son homologue de la France représentant l’UE, a bien une valeur juridique  tant sur le plan national et qu’international malgré les nombreux démentis du gouvernement.  Le Dr Sacko invite le gouvernement à prendre ses responsabilités et à démissionner car il a montré ses limites dans la gestion  du  pays. Une vision partagée par beaucoup d’autres hommes politiques tels que, le chef de file de l’opposition, président de l’ URD, Souméïla Cissé,  le président du PARENA, Tiélibé Dramé, le secrétaire politique du FARE, Souleymane Koné  et même Moussa Mara de la majorité,  qui  tous ont tiré la sonnette d’alarme l’état actuel de la nation qui selon eux est au bord du précipice.  D’où cet  appel à  former une force alternative pour conter IBK  en 2018 .

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