La Faculté des sciences et techniques (FAST) a abrité, du 1er au 3 décembre 2016, la 1ère édition de la célébration de la Fête des sciences au Mali. Organisée par le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, cette rencontre a été marquée par des concours autour de la connaissance pour susciter l’amour des sciences chez les apprenants et tester le niveau de créativité et le degré de motivation des jeunes. La cérémonie de clôture était présidée, le samedi dernier, par le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Pr. Assétou Founé Samaké Migan qui avait à ses côtés le président de la commission d’organisation de la fête des sciences, Dr. Amadou Koné.
Il faut noter que tous les domaines étaient presque couverts à cet événement notamment les sciences et les techniques, la robotique, l’architecture, le bâtiment, le développement rural, la santé humaine, la didactique et la technologie des sciences, l’environnement et le développement durable, les sciences humaines à travers les manuscrits, la valorisation et la protection de la propriété industrielle etc.
Trois jours durant, il y a eu des visites des stands, des laboratoires, des démonstrations, des expositions, des échanges autour des résultats des recherches scientifiques. La présente rencontre, première du genre, a été aussi marquée par des différents concours pour tester l’inventivité, les motivations des apprenants dans les domaines, entre autres, de la créativité technique, de l’architecture et de la propriété industrielle dont les lauréats ont été primés pour chacun des domaines cités.
Selon le président de la commission d’organisation de la fête des sciences, Dr. Amadou Koné, la rencontre a été également l’occasion d’organiser des tables rondes de haut niveau sur la science, l’innovation, la promotion, la question du genre.
Pour sa part, le ministre de l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique, Pr. Assétou Founé Samaké Migan a noté que cette rencontre a été une meilleure opportunité de partage et de recréation autour de la connaissance mais aussi l’entrée des plus jeunes vers le savoir. Selon elle, ces concours avec des prix constituent aussi une innovation.
Moussa Dagnoko
Source :Le Républicain