Les nombreux mois d’occupation du nord de notre pays par des groupes terroristes ont été surtout marqués par des amputations, lapidations, des viols des privations de liberté et des destructions des biens culturels. Par ailleurs, cette situation a considérablement affecté les promoteurs culturels du pays qui avec l’instauration de l’Etat d’urgence ont vu leurs affaires tourner au ralenti.
Pour sa part, le musée national a été sérieusement affecté par cette situation. Selon son Directeur Samuel Sidibé, sa structure continue de payer toujours un lourd tribut, car sa fréquentation est passée de 70 000 visiteurs par an avant la crise à 17 000 avec la crise.
Rassemblés par la Rédaction
Source: L’Indépendant