Les 4 Communes de la sous-préfecture de Sanando : Gouendo, N’gasso, Tesserela et Sanando ont fait un appel de candidature au général Moussa Sinko Coulibaly le dimanche 6 mai 2018 à Fabalé. Fabalé est un village situé dans l’arrondissement de Sanando dans le cercle de Barouéli.
Le générale Moussa Sinko Coulibaly et sa délégation furent chaleureusement accueillis par la population de Fabalé et ses environs.
Le représentant des chefs de village a souhaité la bienvenue et salué le déplacement spécialement de Moussa Sinko et sa délégation.
Quant au maire, Mamadou Gakou, il a félicité Moussa Sinko d’avoir effectué le déplacement. Il a rappelé que les Maliens ont trop souffert. Et qu’il faut le changement pour le bien des peuples maliens. Pour lui, le général est le seul candidat idéal capable de sortir le Mali de ce trou.
« Que la paix et la sécurité règnent sur le Mali. Que la venue de Moussa Sinko Coulibaly procure la joie, le bonheur dans nos Communes, nos villages et surtout dans le Mali tout entier » a indiqué l’Imam Mamadou Coulibaly.
Selon le président du comité local des jeunes de Barouéli et président du comité communal de Konoboubougou M. Zoumana Ballo : «Moussa Sinko pense le Mali avant lui, c’est pourquoi les jeunes sont mobilisés derrière vous. Tous les jeunes de Baraouéli et de Konobougougou ont confiance en vous ‘’Moussa Sinko’’ et vous soutienent. Nous avons pris conscience qu’il faut le changement. Et c’est avec le général que nos rêves d’un Mali paisible, avec des emplois pour les jeunes deviendront réalité».
Quant au président de la délégation de Ségou M .Badjan Dembélé, il a affirmé que tous les jeunes Maliens souhaitent le changement. Pour lui, les Maliens ne sont pas en sécurité.
La famine s’aggrave du jour au lendemain. La migration s’élargit de plus en plus. A ses dires, il faut une nouvelle tête pour changer la tendance..
Moussa Sinko Coulibaly a salué les enfants, les jeunes, hommes, femmes pour cet accueil chaleureux. Il a exprimé ses sentiments de joie pour la réussite de cette cérémonie.
« Je salue également la présence de la délégation de la France qui nous accompagne. Il faut reconnaître que les Maliens ne méritent pas la famine, l’insécurité. Les Maliens ont droit à la sécurité, à la paix et à la cohésion sociale. Personne ne viendra construire le Mali à notre place. Il est temps que la corruption, les vols, viols cessent. Tous les Maliens sont égaux sans exception. Pour que la paix règne, il faut une prise de conscience, il faut se donner la main pour le changement. Notre beau pays ne doit plus souffrir», a-t-il matelé.
Korotoumou Diabaté (Stagiaire)
Les Echos