A sa sortie de la salle de réunion hier jeudi, l’ex-premier ministre Ahmed Mohamed Ag Hamani n’a pas caché sa déception face à la pléthore des partis politiques et au refus de certains d’entre eux de siéger au sein du Cadre de Concertation national.
Lequel a été institué par le gouvernement autour des réformes institutionnelles et politiques envisagées, dont la révision constitutionnelle.
Source: L’Indépendant