Les attentes ont été notamment déjouées par l’élévation spectaculaire du degré de représentativité et de la circonscription électorale des futurs députés, qui passe du niveau cercle à la dimension régionale. Le nombre de parlementaires connaîtra toutefois une hausse avec l’avènement d’une chambre haute avec 70 autres membres au total, selon nos sources. La tendance, selon toute vraisemblance, est à la réduction du coût institutionnel puisqu’il nous revient, de sources concordantes, que la législation y afférente dispose en même temps sur les proportions de rémunération des futurs législateurs. En effet, la loi organique en question revoit drastiquement à la baisse le traitement retenu par les membres du CNT en leur faveur et qui a fait polémique jusqu’à sa validation par la Cour constitutionnelle. Tandis que le membre du Conseil National de Transition coûte plus de 2 millions au contribuable – en fonction de ses responsabilités -, les futurs élus quant à eux ne toucheraient pas plus de 1,6 millions selon la nouvelle législation en gestation.
La Rédactiion
Source: Le Témoin