Quel châtiment ! Les Maliens souffrent et souffrent toujours pour des raisons de mauvaise gouvernance. Ibrahim Boubacar Kéita fraichement élu, en 2013, le quartier populaire de Banconi a été inondé, ce fut le point de départ d’une malchance.
Ensuite, le marché de Kayes a pris feu, d’autres marchés de Bamako ont brûlé. Chez nous, toute personne qui mâche sa langue sur ses lèvres ne mérite pas d’être chef, il avalera son peuple, dit le sage.
Source : L’Inter de Bamako