Le ministre des Sports Me Jean Claude Sidibé a effectué, le jeudi dernier, une visite de terrain et a rencontré les directeurs du stade Modibo Keita Amadou Maiga et celui du 26 Mars Alkaya Touré. L’entretien des stades et le retard des travaux de la nouvelle piscine du 26 Mars ont été le dossier brûlant.
Il y a quelques jours, le ministre des Sports avait visité les terrains d’entraînement des stades Ouenzen, du Djoliba, du Stade malien, du Réal de Bamako et du Malaria de Kati, afin de régler la crise du football dans trois mois.
Cette initiative du chef du département des sports a pour motif de réconcilier les protagonistes du football et de les convaincre a baisser les armes pour que le Conor puisse pleinement exercer son travail dans la paix pour le bien être du football malien.
Il a instruit aux directeurs de terrains de veiller à l’entretien de ces biens.
Me Sidibé été accueilli au stade Modibo Keita par la direction avant de se rendre au stade du 26 Mars. Il a visité le pavillon, la salle de musculation, le terrain de tennis, de volley-ball, handball, la nouvelle salle des médecines sportives en voie de finition, la piscine, la machinerie, la musée olympique avant de rendre sur la pelouse de foot.
Il a poursuivi sa visite à l’Institut des jeunes sportifs (INJS), où il a été reçu par le directeur Cheikh Konaté dit Takala.
« Au niveau du stade 26 Mars tout se passe bien, sauf la salle de basket-ball. J’espère que cette salle sera réparer le plus tôt possible. Je dois faire en sorte que les terrains soient tenus convenablement parce que le Mali est un pays de sport et de compétitions. Nous allons accueillir les compétitions bientôt », a expliqué Me Jean Claude Sidibé.
Il a déclaré que les terrains de basket posent de sérieux problèmes et qu’il fera en sorte que ces terrains soient disponibles avant le mois de juin prochain pour la Coupe d’Afrique des cadets au Mali.
Il a demandé aussi des moyens à l’État pour parfaire les terrains avant cette compétition.
Au stade Modibo Keita au niveau de la nouvelle piscine il y des inquiétudes. Il a expliqué que l’entrepreneur sera convoqué parce que tous les travaux ne sont faits et tous les frais ont été entièrement versés à l’entreprise.
Mamadou Sangaré
(Stagiaire)
Les Echos