Issa Kaou N’Djim l’avait dit. Nouhoun Sarr l’avait réitéré et les péripéties de la désignation du président et du Premier ministre de la transition ont définitivement scellé le sort du mouvement de contestation qui avait enclenché la lutte contre le président IBK.
Les politiques du M5, à travers les jeunes, n’hésitent plus à attaquer frontalement l’imam Dicko passé du statut d’autorité morale à celui de « lâcheur » au profit de la junte auprès de laquelle il aurait eu la promesse de quelques départements ministériels. D’ailleurs, ce dimanche soir, il a rassemblé certains leaders de sa Cmas qui lui avaient amené des CV. Comme quoi, c’est désormais chacun pour soi.
Ainsi va la vie, serait-on tenté… d’écrire !
DAK
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