Comment peut-on lever la suspension en son encontre ?, s’interroge notre source au ministère de la sécurité et de la protection civile. D’ajouter que ce sont des rumeurs non fondées. Le ministère déclare que les allégations sont fausses. En tout cas, la hiérarchie semble être décidé  de sévir tous ceux qui sont impliqués dans cette affaire.

La disparition des armes de guerre peut se justifier comme si  certains veulent tirer profit dans le jeu trouble de la réintégration des ex combattants en leur vendant ces armes, parce que le gouvernement à travers les deux ministres celui de la défense et de la sécurité et de protection civile imposent que leur réintégration, certains n’ayant plus d’arme, devrait être conditionnée  au dépôt des armes et des minutions avant toute autre chose.

Un autre argument soulevé est celui du  chef d’Etat-major de la garde nationale qui s’opposerait à la réintégration des ex combattants au sein de la garde nationale. Car d’après lui il faut passer par des étapes primordiales d’abord avant d’entrer dans cette structure. Aimer sa patrie, Accepter le sacrifice suprême doivent être le leitmotiv premier avant de prétendre. C’est pourquoi la question de la réinsertion des ex combattants dans la garde nationale doit être prise de façon intelligente : Si tel est le  cas, cela  nous rappellera-t-il le scénario de l’ex ministre Ba Ndaou ?

Source: Le forum