Ayant comme objectif l’évaluation de l’engagement français dans le sahel à travers la force Barkhane, la rencontre, depuis sa première annonce hors normes diplomatiques, fait déjà débat dans les pays sahéliens où le sentiment anti-présence française évolue .Les présidents de quatre des cinq pays du G5 Sahel (Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) ont déjà «confirmé leur accord pour cette date», rajoute l’Élysée, qui n’a fourni aucune précision pour la Mauritanie, également membre du G5 Sahel. Des dirigeants des Nations unies, de la Commission de l’Union africaine, de la Commission et du Conseil européens ont également été conviés. Quelles seront les grandes conclusions ? Le sentiment anti-présence française changera-t-il le mode opératoire du pays de De-gaule vue comme une occupation ? Le temps nous en dira plus …
A. Djiga LE COMBAT