De l’eau potable pour tous, cet objectif sain fait partie des préoccupations de la société MOOV AFRICA MALITEL. Dans cette dynamique cette entreprise citoyenne, dans son opération de don de Forage n’a pas oublié les populations des communes de Yirimadio et Djalakorodji Moutougoula. Par le soin du Directeur adjoint de MOOV-AFRICA, Sidy Mohamed Dembélé, les premières gouttes d’eau potable ont coulé des robinets des deux forages offerts à ces populations, le mardi 13 Avril 2021. La joie était immense.
Si l’eau est source de vie, MOOV-AFRICA-MALITEL est désormais source de l’eau potable pour les populations des localités qui souffrent de l’accès à cette denrée essentielle à la vie.
Ainsi, dans le cadre de ses actions de bienfaisance, cet opérateur historique de téléphonie a offert aux populations de Yirimadio et de Djalakorodji Moutougoula respectivement, deux forages d’eau potable. Le premier coup de robinet de cette donation a été effectué mardi par le Secrétaire Général de MOOV-AFRICA-MALITEL, Sidy Mohamed Dembélé, en présence des autorités coutumières locales respectives des deux quartiers.
La joie était visible sur le visage des populations bénéficiaires de ces forages. Surtout en cette période de forte chaleur. Dans ces quartiers périphériques de Bamako, l’acquisition de l’eau potable relève d’un combat quotidien de titans. Où des vaillantes femmes se lèvent chaque matin de bonheur pour aller faire une longue queue avec leurs récipients au niveau de l’unique fontaine d’eau communautaire du quartier.
En raison donc de toutes ces réalités, l’on peut dire que l’opérateur de proximité, MOOV-AFRICA-MALITEL a fait d’une pierre deux coups : étancher la soif des populations bénéficiaires, mais aussi amoindrir les souffrances des braves femmes dans l’acquisition de l’eau potable.
On peut donc dire sans risque de se tromper que la société MOOV-AFRICA-MALITEL accompagne l’Etat dans sa lutte pour améliorer le taux d’accès à l’eau potable en installant des forages dans les zones les plus sensibles.
Ces dons viennent soutenir les populations pour pallier aux pénuries d’eau potable dans les centres de santé aussi. « Le bienfait n’est jamais perdu » dit-on.
La Rédaction
Source: Le Sursaut-Mali