Il sera sur la scène du festival les Z’Eclectiques, à Chemillé-en-Anjou (Maine-et-Loire), samedi 5 novembre. La veille, le chanteur ivoirien, icône de la scène reggae, sortira son nouvel album. Tiken Jah Fakoly a répondu à nos questions sur le développement de l’Afrique et la place de la musique.
Samedi 5 novembre, le festival les Z’Eclectiques, à Chemillé-en-Anjou, accueillera sur sa scène Tiken Jah Fakoly. La veille, le chanteur de reggae ivoirien sortira son onzième album studio, baptisé « Braquage de pouvoir ».
La veille de votre concert à Chemillé-en-Anjou, votre nouvel album, « Braquage de pouvoir », sortira dans les bacs. Comment s’est passée la construction de cet album ?
« Tout a commencé pendant la pandémie, j’étais à Bamako, j’allais dans ma ferme et là, l’inspiration est venue. J’ai commencé à fredonner dans ma tête et je suis entré en studio pour maquetter. On a ensuite enregistré en Côte d’Ivoire, dans mon studio et on a fait le mixage à Paris. J’ai fait une chanson sur la sensibilisation contre la pandémie. Comme je n’avais pas grand-chose à faire, je me suis mis à l’écriture, j’avais tout le temps pour réfléchir à des chansons. Je compose en fonction de l’actualité, de ce que je vois autour de…
