Après le nouveau coup de force, opéré le 25 mai, contre le président de la transition Ba N’Daw et le Premier ministre Moctar Ouane, il est à craindre une dégradation de la situation sécuritaire. D’autant que les plus grands partenaires des FAMa dans la lutte contre le terrorisme comme la France, désormais à dos avec les auteurs de ce coup de force, pourraient être amenés à revoir leur position. Ainsi les Etats Unis annoncent déjà la suspension de toute assistance militaire aux FAMa. Une décision lourde de conséquences quand on sait qu’ils sont aussi les plus grands soutiens de Barkhane.
Source: l’Indépendant