Les procédés frauduleux du polisario et autres tentatives mesquines de torpiller le processus validé par l’Organisation des Nations-Unies n’y changeront rien puisque la proposition marocaine d’autonomie pour les Provinces du Sud, respectant l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale du Royaume du Maroc, est l’unique solution pour régler le différend créé par les responsables algériens autour du Sahara marocain.
Il est rappelé à ceux dont la mémoire s’étiole avec le temps que le Roi Mohammed VI a rappelé dans son discours du Trône, le 29 juillet 2019, que « la souveraineté pleine et entière du Maroc dans le cadre de l’initiative d’autonomie est la seule et unique voie envisageable pour parvenir au règlement souhaité ».
Cette ferme position du Roi du Maroc, validée par la communauté internationale dans sa globalité, tranche avec les gesticulations enfantines des ennemis du Maroc qui, de plus en plus, sont isolés sur la scène internationale.
Cette même communauté internationale qui constate à raison que, face aux trafiquants d’idées que sont les terro-polisariens, ses intelligences, refusant que l’on travestisse l’Histoire, s’activent à crédibiliser le Maroc dans sa démarche. Le dernier exemple en date nous vient du Sénat Fédéral brésilien.
Effet, le Sénat Fédéral brésilien a adopté, le 03 septembre 2019, une motion d’appui à l’initiative marocaine d’autonomie pour ses Provinces sahariennes respectant l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale du Royaume du Maroc.
Adoptée par 62 Sénateurs sur un total de 81, ce document stipule notamment que « l’appui du Brésil à la proposition marocaine d’autonomie sera cohérent avec les résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU et compatible avec la position de la communauté internationale pour la recherche d’une solution politique réaliste et consensuelle à ce conflit régional ».
La motion, se félicitant des « valeurs communes de tolérance, de pluralité et de diversité » liant le Maroc au Brésil, est la première du genre à être adoptée par le Sénat brésilien et couronne un long processus durant lequel le Brésil exprime et réitère, aux plans exécutif et législatif, un soutien clair et massif en faveur d’une solution politique au conflit artificiel du Sahara marocain, avec le plan d’autonomie comme cadre pertinent pour atteindre cet objectif.
Il est vrai que l’Amérique Latine, longtemps oubliée par le Maroc et transformée par l’Algérie, plus de trente années durant, en un vivier de soutiens au polisario, a revisité de fond en comble ses alliances à la faveur de l’arrivée au pouvoir des régimes politiques modérés dans de nombre de pays Outre-Atlantique.
Quant au régime du Généralissime Gaïd Salah, il aurait meilleurs temps de s’occuper à juguler la crise financière historique que traverse l’Algérie, à dénouer la profonde crise politique inédite qui y sévit depuis le 22 février 2019 sans parler des problèmes sociaux, de l’enseignement, de l’emploi, de la santé que d’aboyer à tout vent son hostilité anti-marocaine, principale thématique de sa Politique Etrangère.
Les caisses de l’Etat algérien sont vides Gaïd Salah et le peuple algérien ne veut pas de vous ni de vos troublions pour mettre un terme à la série noire qui sévit en Algérie.
Il ne reste donc plus à ce salonard de Général qu’à danser au rythme des guitares du peuple algérien pour savoir dans quelle poudrière il se trouve haut perché et avec qui il cause.
Source: Farid Mnebhi