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Protection et promotion de la diversité des expressions culturelles Le Mali prépare son premier rapport quadriennal avec l’appui de l’UNESCO

Le lundi 21 octobre, au Musée National du Mali, la ministre de la Culture, Mme N’diaye Ramatoulaye Diallo a procédé à l’ouverture des travaux de la rencontre de formation des membres du Comité de mise en œuvre et de suivi de la Convention de 2005, au Mali, sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles.

 

Il regroupe, du 21 au 25 octobre, une trentaine de participants composés de professionnels de la culture, de statisticiens, de représentants ministériels et d’acteurs et opérateurs de la société civile, des médias, etc. L’UNESCO accompagne la formation à travers la mise à disposition d’une expertise spécialisée, constituée d’experts internationaux et nationaux.

La formation permettra de renforcer les capacités du Comité pour préparer le premier rapport quadriennal du Mali et pour un meilleur suivi des politiques culturelles dans le cadre du projet UNESCO/ASDI « Repenser les politiques culturelles pour la promotion des libertés fondamentales et la diversité des expressions culturelles », 2018-2021, Convention de 2005. Une partie des travaux sera consacrée à dresser un état des lieux de la politique nationale de promotion des industries culturelles et créatives au Mali.

Enfin, la rencontre permettra d’impliquer et de créer une synergie d’actions entre les parties prenantes en vue de renfoncer leurs capacités pour une meilleure élaboration dudit rapport.

Cette formation, regroupera une trentaine de participants provenant spécifiquement des structures de l’Etat et des organisations de la Société civile.

Mme N’diaye Ramatoulaye Diallo, après avoir remercié l’UNESCO et la Suède, a souligné que le Mali, l’un des premiers pays (18è pays sur 146 à ce jour) à ratifier cette Convention, le 9 novembre 2006, possède de nombreux atouts qui favorisent l’émergence des secteurs culturels créatifs, à savoir la richesse et la diversité de ses expressions culturelles, qui attirent des opérateurs culturels étrangers.

Elle a ajouté que les secteurs culturels et créatifs subissent encore les impacts négatifs de la crise qui a montré leur faiblesse structurelle et l’insuffisance de soutien financier aux secteurs d’activités culturelles, ainsi que la faiblesse de dispositifs adéquats de collecte de données sur les statistiques sectorielles.

B D

Source: l’Indépendant

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