Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Modibo Sidibé : « Tout n’est pas mauvais dans l’héritage d’ATT » au Mali |
Le candidat du parti FARE, vient d’effectuer une visite de terrain en France où il a rencontré les maliens vivants dans l’hexagone. Selon des sources bien informées depuis la capitale française, cette visite très fructueuse a été marquée par des rencontres avec les admirateurs et sympathisants et autres militants et militantes à la base du parti des Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence « FARE ». Les débats entre le candidat Modibo Sidibé et les maliens de France ont porté sur les élections : présidentielle et législatives de juillet prochain.
En effet, après les étapes du Burkina Faso, du Niger et de la Côte d’Ivoire, lesquelles ont été l’occasion pour le candidat du parti FARE de rencontrer et d’échanger avec les militants à la base résidant dans ces pays sur des questions liées à la présidentielle à venir, l’enfant du Wassoulou de plus en plus commence à étaler son sens social et humain aux militants à la base. Selon des sources, si cette visite en France n’était pas prévue dans le programme de Modibo Sidibé, il fallait trouver des voies et moyens pour l’effectuer. Un sympathisant de l’homme qui aura amené et apporté des changements notoires dans les services de la Santé de notre pays, de déclarer qu’avec Modibo Sidibé, président de la république, le Mali pourra retrouver rapidement sa place dans le giron des grandes nations africaines et mondiales.
Aujourd’hui, personne ne doute du soutien dont bénéficie l’homme Modibo Sidibé auprès des populations maliennes, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Même les maliens vivants dans les coins les plus reculés dans les profondeurs du pays, qui n’ont jamais eu l’occasion de rencontrer ou de serrer la main de l’homme, ont un penchant pour lui. Sur les ondes de la Radio France Internationale en début de semaine, en réponse aux questions de notre confrère Christophe Boisbouvier, d’un avis général, Modibo Sidibé, a été convaincant, précis et éloquent dans ses propos, sauf pour les jaloux et ses ennemis politiques. Bien que l’on dise que la politique est faite de coups bas, nul ne peut et ne doit ignorer les qualités de son prochain.
Il faut soutenir que durant les vingt premières années de notre démocratie, l’enfant du grand Wassoulou aura été à la base de plusieurs chantiers de développement lors de son passage à la tête de différents départements ministériels, tels que : la Santé, les Affaires Etrangères, le secrétariat général de la présidence et la primature.
A la tête du ministère de la Santé, Modibo Sidibé a été l’homme qui a priorisé le rapprochement des services de santé aux bénéficiaires (populations). La construction de plusieurs CSCOM « Centres de Santé communautaire » pour magnifier les actes posés et actions réalisées par Modibo Sidibé entre 1992 et 2002 et entre 2002 et 2010. A la tête de la primature, grâce aux actions menées par Modibo Sidibé et son équipe, les croissances au Mali étaient au vert et notre pays avait gagné des places importantes au sein de l’espace CEDEAO et auprès des institutions financières régionales et internationales. Seuls, les jaloux soutiennent que l’Initiative fut un échec, mais s’ils se donnaient le temps de faire un tour dans des productions de riz, notamment à Niono, certainement (toute démagogie à part) ils pourraient changer de langage.
Sur un tout plan, même après avoir fait l’objet d’arrestations de la part des éléments du CNRDRE, Modibo Sidibé, sur les antennes de la RFI, a soutenu qu’il n’a aucun différent avec le Capitaine Amadou Haya Sanogo, à fortiori avec quelques militaires ; lui-même étant un produit de l’armée. Très tolérant et fervent musulman, Modibo Sidibé n’a aucun rancœur contre quiconque. Quant aux élections prévues pour le mois de juillet 2013, très respectueux des ordres constitutionnels, il est conforme à la prévision du Président de la Transition et des autorités de la transition.
« Désarmé à tout prix le MNLA, car il ne peut pas y avoir deux armées dans un même pays, et plus, le MNLA ne représente qu’une minorité aux intentions destructrices marquées par des idées indépendantistes et sécessionnistes ».
Modibo Sidibé qui a été très tranchant envers le MNLA, a soutenu, qu’il ne peut aucunement avoir deux armées dans un même pays. Il a dit sans ambages que ce mouvement qui n’a aucune légitimité doit être désarmé un point c’est tout et que l’intégrité territoriale du Mali n’est pas à négocier. Le Mali ne cédera aucune portion de son territoire. Sur un tout autre plan et d’une analyse faite de l’intervention de Modibo Sidibé sur la RFI, l’on comprend aisément, qu’il est sur une position de non reconnaissance d’un groupe de bandits sans vergogne et sans légitimité. En effet, contrairement aux propos tenus par certaines personnes sur les médias internationaux, ce groupe de bandits ne représente que lui-même. Il ne répond pas au nom des populations du nord. Enfin, Modibo Sidibé garde sa totale confiance à l’armée malienne. Par ailleurs, pour le candidat du parti FARE, notre grande armée malienne a besoin d’une réorganisation et une refondation.
Par Esdras Kéïta