L’après IBK tend à devenir une source d’interrogations concernant le devenir du Mali. Depuis la chute de l’ex-président, la classe politique, la société civile, les confessions religieuses ainsi que la communauté internationale ne tarissent pas de solutions pour relancer la machine étatique, en mettant en place une Transition dont la forme varie selon la vision de chaque partie. Ainsi, pour rester dans le cadre normatif de la constitution du 25 février 1992, le principal parti allié et soutien du président déchu, l’Adema-PASJ propose une organisation des pouvoirs publics à travers un Accord Politique de Transition (APT). Et la création d’un organe législatif dénommé Conseil National de Transition (CNT).
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Source : l’Indépendant