En 2018, d’après l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), plus de 25 000 migrants ouest-africains, dont quelque 14 000 Nigériens, ont été expulsés à la frontière entre l’Algérie et le Niger. Entre un et trois convois atteignent la frontière chaque semaine. A Arlit, dans un centre de l’OIM où ils sont placés, certains ont accepté de raconter leur calvaire. Ils accusent les autorités algériennes d’actes de maltraitance. La plupart viennent du Mali, du Sénégal, de la Guinée, du Bénin, du Togo et du Nigeria.
La rédaction