Nous aimerions préférer l’élégance du silence à la virulence des mots que nous écrivons ici, qui pourraient heurter la sensibilité de nos admirateurs. Mais, nous y avons été obligés par l’impertinence de certains intervenants sur les réseaux sociaux et le très mauvais choix de leurs mots, dans le cadre d’un débat démocratique.
Pauvreté de vocabulaire ou tare d’une éducation familiale ? Nous n’en savons pas trop, mais nous nous donnons la liberté de les recadrer.
Ce n’est pas l’escroc politique, passé maître dans l’invective et le dénigrement, le président d’un sigle que nous craignons, mais l’homme politique abonné permanent aux sales besognes qui ne sait pas ce qu’il fait. Le seul homme qui tire profit du désordre ambiant actuel, car prenant des deux mains, notre escroc national deviendra, s’il ne l’est pas déjà multimillionnaire en un rien de temps. Voilà un gars qui, sans diplôme requis, s’est retrouvé bombardé chargé de mission au ministère de la défense. Un poste obtenu par la terreur, sous ATT, qui n’apportera rien ni au département qu’il était sensé servir ni à la corporation dont il se réclamait. Homme de terreur, violent dans le verbe comme dans l’action, son cursus circulaire est marqué par des invectives. Les appréciations de ses maîtres sur son carnet scolaire n’ont pas varié : élève peu intelligent, bagarreur et manipulable. Un farceur humoristique, impertinent qui distrait plus qu’il ne contribue à l’oeuvre collective. Les Maliens ont été prévenus : si un jour, il devient politicien, éloignez-vous de lui, car escroc, il serait devenu. Et sans état d’âme ! Alors, M Togo, rengaine ton arme sans crin de sûreté. Je reviens… A bon entendeur, salut !