Les syndicats de l’éducation signataires du 15 octobre 2016 ne décolèrent pas. Ils viennent de déposer sur la table du gouvernement un nouveau préavis de grève allant du 11 au 15 mars et du 18 au 22 mars avec la rétention des notes. Décidément, cette année est soumise à rude épreuve en raison des perturbations constatées depuis l’ouverture des classes. En attendant de trouver une solution définitive à ces mouvements, l’avenir des enfants est devenu une monnaie d’échange entre les enseignants et le gouvernement. Un sursaut patriotique est nécessaire pour mettre fin à une crise qui n’a que trop perduré. Il est temps que les deux parties fassent des concessions pour un dénouement rapide de la situation.
Source: l’Indépendant