Loin d’une punition, le Ramadan est un mois de purification, de correction ; bref de la construction humaine. La soif de l’eau ou avoir faim doit nous servir de leçon pour ceux qui endurent toute l’année par manque de moyens.

L’abstention envers les mauvaises habitudes au moment du jeun ne doit pas être inscrit dans un programme limitatif  mais continuel pour que chacun, mahométan ou non, vit dans la tranquillité au plan humain et moral. Mais, force est de constater que l’apparition de la lune annonçant la fin du mois béni constitue pour certains aussi majoritairement les jeunes une fin à l’abstention prescrite. D’où la ruée vers les anciennes mauvaises  habitudes.En un mot : changeons pour de bon !