La pression des Chefs d’Etat et de Gouvernements de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) commence à porter fruit. Comme exigé par la CEDEAO, finalement le Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) a accepté que le vice-président de la Transition s’occupe uniquement des questions de défense et de sécurité.
Dans cette affaire, la bonne nouvelle est qu’il ressort des explications des spécialistes que la levée de l’embargo contre le Mali devrait intervenir rapidement. Cela s’explique par le fait que les militaires ayant renversé le régime du Président Ibrahim Boubacar Keïta ont accepté d’adapter la Charte de la Transition aux exigences de la CEDEAO. Comme dirait l’autre,
« seule la CEDEAO peut aider le peuple malien à s’échapper des griffes des putschistes ayant pris goût au pouvoir ».
Cette préoccupation a été prise en compte dans la dernière version de la Charte publiée au Journal Officiel. Désormais les prérogatives du vice-président de la Transition, Colonel Assimi Goïta sont bien cadrées. Conformément au décret N° (…)
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Tougouna A. TRAORE
NOUVEL HORIZON