Bien avant l’ouverture officielle de la campagne pour le référendum, les organisations de la société civile, les partis politiques ne cessent d’appeler voire à voter oui. Malgré cet engouement apparent, le principal défi est loin d’être celui de la victoire du oui. C’est aussi et surtout celui du taux de participation, désespérément demeuré au ras des pâquerettes ces dernières années.
Pour des raisons liées au fait que les électeurs boudent les urnes et des raisons d’ordre organisationnel. Le signe indien sera-t-il vaincu relevé à l’occasion de ce référendum ?
Tout porte à croire que faute de moyens, les activités de campagne semblent confinées à Bamako. Or, ce n’est pas une lapalissade de dire que le Mali ne se limite pas à Bamako
. DT
Source : Le Challenger