Le capitaine a également annoncé une “modification partielle” de la Constitution, un texte qui reflète selon lui “l’avis d’une poignée de personnes éclairées”, au détriment d’une “masse populaire”.
Les élections, “ce n’est pas une priorité, ça je vous le dis clairement, c’est la sécurité qui est la priorité”, dans ce pays miné par les violences jihadistes, a répondu Ibrahim Traoré aux journalistes qui l’interviewaient vendredi soir à la Radio télévision burkinabè (RTB).
Si les élections ne constituent pas “une priorité”, Ibrahim Traoré a néanmoins ajouté que “notre pari tient toujours” pour organiser un scrutin, sans préciser de date.