Pour mieux se faire comprendre et partager avec ses collaborateurs et utilisateurs notamment ceux de la presse sur l’importance des données statistiques, l’Institut national de la statistique (Instat) organise un atelier en vue de mieux sensibiliser les différents organes de presse sur le système statistique.
La cérémonie d’ouverture des travaux présidée par le préfet de Kangaba, à enregistré la présence du Directeur général de l’Instat, des formateurs et facilitateurs et une trentaine de participants.
Cet atelier, qui durera trois jours, a pour vocation de réunir les membres de deux corps de métiers, bien que différents, travaillent toutefois pour l’information du public. Il s’agit de permettre aux uns d’apprendre et de comprendre les besoins des autres afin d’améliorer la collaboration au bénéfice du grand public.
En outre, il s’agit d’apprendre à donner des informations les plus objectives et les plus justes possibles, à valoriser les données statistiques et à atteindre un public plus large. Après les mots de bienvenue du maire, le directeur général de l’Instat a salué la présence à cet atelier, des hautes autorités du pays. Une présence qui selon lui montre l’importance qu’elles attachent au dialogue entre producteurs d’informations statistiques et journalistes dans un contexte où les actions des gouvernants doivent être bien mesurées et les résultats présentés au grand public objectivement sans parti pris.
Par ailleurs, il a exprimé sa gratitude au ministre de l’Aménagement du territoire et de la population pour avoir autorisé l’organisation de cet atelier de formation qui rentre dans le cadre du renforcement de la collaboration entre les producteurs et les utilisateurs des données statistiques.
Pour sa part, le préfet de Kangaba s’est ainsi dit d’avance convaincu que cette formation donnera un résultat très probant.
« J’en suis convaincu, vous serez mieux outillés aux techniques de communication écrite et les agents de la presse seront capables de mieux interpréter les données statistiques pour mieux informer l’opinion », a-t-il conclu.
La rédaction