Compte tenu de la morosité générale dans laquelle s’est tenue la campagne pour le deuxième tour des élections législatives et de la démotivation des Maliens en ce qui concerne la « chose publique », il est évident que le taux de participation au scrutin du dimanche 19 avril n’atteindra pas celui du premier tour, 30% annoncés, déjà très faible. Il faudra donc s’attendre à accueillir à l’Assemblée Nationale des députés mal élus.
Déjà, faut-il le rappeler, les élections présidentielles, principalement celles des législatives reportées plusieurs fois qui, finalement ont été sauvées par justesse, suite aux graves crises sécuritaires qui ont cruellement freiné les activités politiques du nord comme au centre du pays.
« Un malheur, dit-on, ne vient jamais seul ». Et voilà que le coronavirus vint s’y mêler. Il est évident que (…)
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU MARDI 21 AVRIL 2020
Abdoul Karim SANOGO
NOUVEL HORIZON