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Droit de réponse : Qui veut ternir l’image de Malamine Koné se ridiculise !

“Malamine Koné du groupe AIRNESS: de la Panthère à la vache maigre”, est le titre d’un article publié dans le journal, le Sursaut, lundi dernier. Certes le tire est accrocheur mais le contenu de l’article est quasi vide, voire insensé.

malamine kone airness

En résumé, l’auteur de l’article reproche à Malamine Koné de tenter la politique au Mali parce que ses affaires ne marchent plus en France. Et pour s’installer au palais de Koulouba, il a fondé une association humanitaire du nom de l’Alliance pour la paix et la solidarité (APS). Notre journaleux raconte que monsieur Koné a décidé de fermer cette association lorsque celle-ci a refusé de faire les choses comme il le souhaite. En tant que président de cette association, je démens catégoriquement ces informations gratuites, fallacieuses voire imaginaires tendant à ternir l’image du fondateur de notre association. En trois ans, Malamine Koné a investi près de 700 millions de francs CFA dans l’APS lui permettant de mener diverses activités pendant le mois de carême, le mois de la solidarité, la Journée internationale de la femme, les différentes fêtes musulmanes. En outre, l’association a distribué des équipements à plusieurs centres de santé et fait des dons à beaucoup d’orphelinats et des coopératives des femmes. Sans compter les multiples dons qui sont faits quand il y a des décès ou d’autres cérémonies sociales. Toutes ces actions ont été faites grâce aux financements directs de Malamine Koné qui a tenu à ce qu’il n’y ait aucune récupération politique derrière ces actions humanitaires.

Quand l’auteur de l’article dit que les affaires de Malamine Koné ne marchent plus, il a grossièrement menti. Propriétaire de la marque AIRNESS qui fonctionne depuis plusieurs années, Malamine Koné n’a jamais fait de publicité autour de sa fortune. Moi qui vais régulièrement le voir à Paris, je suis étonné qu’il puisse avoir cette modestie de soi alors que Dieu lui a tout donné pour qu’il roule sur l’or. Numéro 1 dans la fabrication des fournitures scolaires en France, la marque AIRNESS, c’est aussi les équipements sportifs, les lunettes, les parfums. Elle travaille aussi avec de grandes marques de luxe comme l’Oréal. Le patron de la marque AIRNESS s’est récemment investi dans la promotion de la boxe et a signé un contrat avec Canal+ (la plus grande chaîne de sport en France) pour organiser des réunions de boxe dans des salles prestigieuses parisiennes. Je suis régulièrement invité à participer à ces événements.

Les bureaux de Malamine Koné se trouvent à l’avenue Marceau dans le 16è arrondissement de Paris, l’un des plus beaux et prestigieux quartiers de la ville. Si les murs de ces bureaux pouvaient parler, ils allaient dire que Malamine Koné est un patron qui travaille comme un ouvrier. Quand il vient le matin, il ne retourne à la maison que tard dans la nuit après avoir s’assuré que tout le boulot de la journée a été correctement exécuté. Souvent je me plains de passer toute la journée avec lui au bureau alors que je souhaitais profiter de la ville comme tout africain qui débarque à Paris. Et pour me soulager de ma fatigue, il m’invite à manger dans des restaurants chics réservés aux gens de la haute société. Au tour des plats succulents à faire avaler sa langue, il a l’habitude de me dire ceci : “Ma vie, c’est le travail. Si je ne fais pas quelque chose, je m’ennuis. Tout ce qui porte la marque AIRNESS, j’apporte soigneusement ma dernière touche. C’est comme ça que ça fonctionne ici”. Je suis sûr qu’une année de location des bureaux de l’avenue Marceau suffira à faire vivre le journal, Le Sursaut, pendant 100 ans.

Quand j’ai interpellé le propriétaire de ce chou de feuille pour savoir à quel dessein il a écrit sur le patron de la marque AIRNESS, il m’a dit ceci : “En ce moment, il n’y a pas beaucoup d’informations sensationnelles, un tel article sur AIRNESS à la Une fait vendre mon journal. Sinon je n’ai aucune intention de nuire à son image et d’ailleurs c’est un petit article seulement”. Je suis tombé de nue quand il m’a tenu ce genre de propos froid et indigne. Ce journaliste sait pertinemment que Malamine Koné a beaucoup d’estime pour la presse malienne. Il a l’habitude de donner des équipements aux rédactions quand il vient à Bamako ou même sponsoriser les déplacements de certains journalistes maliens à l’extérieur. Quand le propriétaire du journal Le Sursaut était récemment à Paris, il aurait tenté de voir Malamine Koné à l’avenue Marceau et quand il n’est pas parvenu, il faut coûte et coût sortir un article pour gâter son image, une manière pour lui de manifester son mécontentement. Mais son coup a foiré car cet article farfelu a plutôt rehaussé la personnalité de Malamine Koné. Les réactions des lecteurs sur Maliweb et Malijet en sont la preuve. Les Maliens n’aiment pas qu’on salit gratuitement le nom d’un grand patriote, honnête, travailleur et digne.

Je disais récemment dans un post sur Facebook que le journalisme ne signifie pas qu’il faut porter atteinte gratuitement à la dignité des gens parce qu’ils ont réussi dans la vie. Si tu crées un journal et que tu n’as pas les moyens pour le faire fonctionner, tu fermes boutique et tu entreprends de faire autre chose. Ce que l’auteur de cet article imaginaire ne sait pas, c’est que l’enfant prodige de Niéna aime le Mali plus que lui, il apprécie bien les Maliens plus que lui. En un mot, il est amoureux du Mali; un amour franc, sincère et éternel!

Madiba KEITA

Président de l’APS

 

La rédaction

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