Des chefs d’Etat du continent africain ont souligné vendredi à Bamako l’engament “sans faille” de l’Algérie en faveur de la paix et la stabilité au Mali au terme de la signature de l’accord de paix et de la réconciliation par les parties maliennes.
Ainsi, le président du Ghana, John Dramani Mahama et président en exercice de la CEDEAO, a salué la contribution “efficace” de l’Algérie tout au long du processus de négociation intermalien.
“L’Algérie, chef de file de la médiation internationale du dialogue intermalien, a conduit les négociations efficacement permettant ainsi le couronnement des efforts par la signature de l’accord de paix et de la réconciliation”, a-t-il indiqué.
De son côté, le président de la Guinée, Alpha Condé a qualifié cet événement “d’historique” augurant ainsi d’un avenir ” meilleur et prometteur ” pour le Mali et pour tout le continent africain.
“Je félicite à cette occasion l’excellente médiation algérienne qui a permis de déboucher après plus de huit mois de négociation à cette accord de paix et de la réconciliation”, a-t-il soutenu.
Pour sa part, le président de la Mauritanie, Mohamed Ould Abdelaziz a indiqué qu’il fallait passer à la mise en oeuvre de cet accord avec “efficacité” pour un retour à la paix et la stabilité dans ce pays et dans les pays de la sous-région, saluant par ailleurs, “la précieuse” contribution algérienne dans ce processus de négociation.
L’accord de paix et de réconciliation au Mali a été signé vendredi à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays.
Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d’Alger et par l’équipe de la médiation internationale conduite par l’Algérie.
Deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA, dissident), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance II) ont également signé l’accord.
Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l’Azawad (dissident), autre composante de la CMA avaient quant à eux paraphé jeudi à Alger l’accord de paix et de la réconciliation.
La Plateforme d’Alger, signataire de l’accord de paix et de la réconciliation, est composée du Mouvement arabe de l’Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR).
L’équipe de médiation, dont l’Algérie est le chef de file, comprend la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO), l’Union africaine (UA), les Nations unies, l’Union européenne (UE) et l’Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.
L’accord de paix et de réconciliation au Mali signé vendredi à Bamako a été obtenu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014 sous la conduite de la médiation internationale, dont l’Algérie est le chef de file.
Annick Gerardin : La dynamique obtenue au terme de la signature de l’accord doit être maintenue
La Secrétaire d’Etat française au Développement et à la Francophonie, Annick Gerardin a indiqué vendredi à Bamako que la dynamique obtenue au terme de la signature de l’accord de paix et de la réconciliation, issu du processus d’Alger, devait être maintenue pour assurer le rétablissement définitif de la paix et la stabilité dans ce pays.
“Chacun mesure le caractère historique de cet accord si bien qu’il faut conserver cette dynamique en allant de l’avant pour le rétablissement définitif de la paix dans ce pays”, a déclaré Mme Gerardin, au terme de la signature de l’accord de paix et de la réconciliation.
Elle a ajouté qu’il n’y avait pas actuellement au Mali “d’autre alternative que la paix”, soulignant que “seule l’alliance de tous les Maliens permettrait de sortir de cette crise”.
De son côté, la sous-sécrétaire ajointe américaine pour les Affaires de l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Bisa William a déclaré que les Maliens devraient oeuvrer à aller vers un avenir “meilleur et plus avantageux” en approfondissant le dialogue et la concertation.
Elle a, dans ce cadre, exhorté la partie de la Coordination des mouvements de l’Azawad qui n’a pas paraphé l’accord à le faire “sans délai” pour assurer la stabilité et la sécurité au Mali et dans la région.
L’accord de paix et de réconciliation au Mali a été signé vendredi à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays.
Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d’Alger et par l’équipe de la médiation internationale conduite par l’Algérie.
Deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA, dissident), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance II) ont également signé l’accord.
Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l’Azawad (dissident), autre composante de la CMA avaient, quant à eux, paraphé jeudi à Alger l’accord de paix et de la réconciliation.
La Plateforme d’Alger, signataire de l’accord de paix et de la réconciliation, est composée du Mouvement arabe de l’Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR).
L’équipe de médiation, dont l’Algérie est le chef de file, comprend la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO), l’Union africaine (UA), les Nations unies, l’Union européenne (UE) et l’Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.
L’accord de paix et de réconciliation au Mali signé vendredi à Bamako a été obtenu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014 sous la conduite de la médiation internationale, dont l’Algérie est le chef de file.
Organisation internationales : L’Accord de paix signé est “porteur d’espoir” pour les maliens
L’accord de paix et de la réconciliation intemalien, issu du processus d’Alger, signé vendredi à Bamako, est “porteur d’espoir ” pour tous les maliens en vue de parvenir au rétablissement de la paix et la stabilité dans ce pays, ont indiqué des représentants d’organisation internationales.
” C’est une journée historique pour la Mali dans son long chemin vers la paix et la stabilité. Le texte signé aujourd’hui est un texte équilibré et porteur d’espoir pour tous les Maliens “, a indiqué le secrétaire adjoint aux opérations de maintien de la paix à l’ONU, Hévrvé Ladsous.
Il a ajouté que le document signé représentait une “excellente base” pour la poursuite du processus de paix, soulignant que le Mali avait franchi un “pas important” pour le retour à la stabilité.
De son côté, le représentant de l’Union européenne pour le Sahel, Michel Reverend a indiqué que l’accord signé constituait un “chemin qui s’ouvre pour une paix durable” et le retour à une sécurité global dans le pays et la région.
“Il faut que toutes les parties maliennes soient engagées pleinement pour la mise oeuvre qui est un grand et long travail, car l’accord est très riche et ambitieux”, a-t-il soutenu.
Evoquant le rôle de l’Algérie dans la résolution de la crise malienne, il a indiqué qu’elle avait fait un travail “remarquable que la communauté internationale a reconnu à juste titre”.
De son côté, le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour le Mali, chef de la Minusma, Mongi Hamdi a indiqué qu’un “pas important” avait été franchi, au terme de cette signature, soulignant que “même si il n’était pas parfait, il constituait une base solide pour tous les maliens en vue de bâtir une paix juste et durable dans tout le territoire malien”.
L’accord de paix et de réconciliation au Mali a été signé vendredi à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays. Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d’Alger et par l’équipe de la médiation internationale conduite par l’Algérie.
Deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA, dissident), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance II) ont également signé l’accord.
Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l’Azawad (dissident), autre éléments composant la CMA avaient, quant à eux, paraphé jeudi à Alger l’accord de paix et de la réconciliation.
La Plateforme d’Alger, signataire de l’accord de paix et de la réconciliation, est composée du Mouvement arabe de l’Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR).
L’équipe de médiation, dont l’Algérie est le chef de file, comprend la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO), l’Union africaine (UA), les Nations unies, l’Union européenne (UE) et l’Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.
L’accord de paix et de réconciliation au Mali signé vendredi à Bamako a été obtenu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014 sous la conduite de la médiation internationale, dont l’Algérie est le chef de file.
La cérémonie de la signature s’est déroulée en présence notamment du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de chefs d’Etat africains et des personnalités internationales.
Les mouvements armés du nord du Mali clament leur « indéfectible » attachement à la paix en signant l’accord
Les mouvements armés du nord du Mali ont montré en signant l’accord de paix et de la réconciliation, issu du processus d’Alger, leur “indéfectible” attachement à la paix et leur ” ferme” volonté de rétablir la stabilité dans leur pays, ont affirmé vendredi des représentants de ces mouvements.
« C’est un événement majeur, historique et décisif que nous attendions depuis le début de la crise. A travers cette signature, nous avons montré notre indéfectible attachement à la paix et notre ferme volonté de rétablir la stabilité dans notre pays », a indiqué Me Harouna Toureh , au nom de la Plate-forme d’Alger, au terme de la signature de l’accord de paix et de la réconciliation.
Il a ajouté que cette signature était le « couronnement d’efforts constant », notamment de l’Algérie pour ½ nous permettre la conclusion de cet accord ».
De son côté le représentant de la Coordination des mouvements de l’Azawed, signature de l’accord de paix et de la réconciliation, a indiqué qu’il ½ ne pouvait y avoir d’autres moyens que la paix pour entamer un page glorieuse du Mali ».
½ Nous avons répondu à la sollicitation pour signer l’accord avec la ferme volonté d’apporter la paix et stabilité pour notre cher pays » a-t-il soutenu.
L’accord de paix et de réconciliation au Mali a été signé vendredi à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays.
Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d’Alger et par l’équipe de la médiation internationale conduite par l’Algérie.
Deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA, dissident), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance II) ont également signé l’accord.
Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l’Azawad (dissident), autre éléments composant la CMA avaient, quant à eux, paraphé jeudi à Alger l’accord de paix et de la réconciliation.
La Plateforme d’Alger, signataire de l’accord de paix et de la réconciliation, est composée du Mouvement arabe de l’Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR).
L’équipe de médiation, dont l’Algérie est le chef de file, comprend la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO), l’Union africaine (UA), les Nations unies, l’Union européenne (UE) et l’Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.
L’accord de paix et de réconciliation au Mali signé vendredi à Bamako a été obtenu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014 sous la conduite de la médiation internationale, dont l’Algérie est le chef de file.
La cérémonie de la signature s’est déroulée en présence notamment du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de chefs d’Etat africains et des personnalités internationales.
Dialogue inclusif intermalien : Chronologie des étapes phares
Le dialogue intermalien inclusif, mené dans le cadre d’une médiation internationale, dont l’Algérie est le chef de file a été couronné vendredi par la signature à Bamako d’un accord de paix et de la réconciliation.
Voici une chronologie de ces étapes:
Janvier 2014 : Le président malien, Ibrahim Boubacar Keita, demande, au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, l’aide de l’Algérie pour un dénouement heureux de la crise malienne. Création du Comité bilatéral stratégique algéro-malien sur le Nord-Mali.
L’Algérie engage un premier round de pourparlers exploratoires pour rapprocher les vues des mouvements du nord Mali, une étape particulièrement importante pour réunir les conditions de succès du dialogue inter-malien inclusif envisagé.
Le 5 juin 2014 : Alger accueille les mouvements du nord du Mali pour des consultations exploratoires élargies, dans le cadre des efforts de la communauté internationale et des pays voisins du Mali visant la recherche d’une solution définitive au problème du nord du Mali.
Le 9 juin 2014 : Le Mouvement national de libération de l’azawad (MNLA), le Haut conseil pour l’unité de l’azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l’azawad (MAA) signent à Alger “la Déclaration d’Alger”, à travers laquelle ils ont réaffirmé leur volonté d’oeuvrer à la “consolidation de la dynamique d’apaisement en cours” et de s’engager dans le dialogue inter-malien “inclusif”.
Le 12 juin 2014 : Le gouvernement malien affirme avoir pris acte de la signature à Alger de la déclaration conjointe par trois mouvements armés du nord du Mali, tout en remerciant le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour les efforts de facilitation de l’Algérie.
Le 14 juin 2014 : Le Mouvement arabe de l’Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA) et la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR) signent à Alger une plateforme dans laquelle ils ont réaffirmé “le plein respect de l’intégrité territoriale et de l’unité nationale du Mali”.
Le 27 juin 2014 : Le Conseil de sécurité des Nations Unies a salué dans sa résolution 2164 sur la situation au Mali, les efforts de l’Algérie pour ramener la paix et la sécurité dans le pays, en particulier au nord-Mali.
Le 6 juillet 2014 : L’Algérie joue un rôle “éminent, tous les jours”, pour apporter des réponses “satisfaisantes” à la question malienne, estime à Alger, le haut représentant du président de la République du Mali pour le dialogue inclusif intermalien, Modibo Keita.
Le 16 juillet 2014 : La réunion de haut niveau de soutien au dialogue inter-malien pour le règlement de la crise dans le nord de la République du Mali se tient à Alger avec la participation de l’Algérie, Mali, Niger, Burkina Faso, Tchad, Mauritanie, UA, Cedeao, ONU, UE et l’OCI.
Le 16 juillet 2014 : Les pays voisins du Mali (Mauritanie, Tchad, Burkina Faso et Niger) appellent à Alger le gouvernement et les mouvements armés du Nord du Mali à saisir l’occasion “providentielle” du lancement de la phase initiale du dialogue intermalien inclusif pour le règlement pacifique et politique de la crise dans ce pays.
Le 24 juillet 2014 : Signature par les participants au dialogue inter-malien d’une feuille de route pour les négociations dans le cadre du processus d’Alger et d’un document relatif à la cessation des hostilités.
Le 1er septembre 2014 : La deuxième phase du dialogue intermalien commence à Alger dans la perspective d’aboutir à une solution globale et négociée au problème des régions nord du Mali.
Le 27 septembre 2014 : L’Organisation des Nations Unies (ONU) convoque à New York, en marge du débat général de l’Assemblée générale, une réunion de haut niveau sur le processus politique au Mali à laquelle ont pris part le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, les ministres et hauts responsables membres de l’équipe de médiation menée par l’Algérie et le Conseil de sécurité de l’ONU.
Le 18 octobre 2014 : Une réunion préparatoire pour le 3ème round du dialogue inclusif intermalien s’ouvre à Alger en présence de l’ensemble des parties maliennes concernées.
Le 19 octobre 2014 : Le 3e round du dialogue intermalien inclusif débute à Alger en présence des représentants du gouvernement malien et des groupes armés du nord du Mali, ainsi que toutes les parties concernées.
Le 21 octobre 2014 : Reprise du dialogue intermalien inclusif à Alger à la faveur de l’ouverture des travaux du 3e round (Alger III) des pourparlers entre le gouvernement malien et les représentants des groupes politico-militaires de la région du nord du Mali ayant adhéré au processus de négociations sous la conduite de l’Algérie, chef de file de la médiation.
Le 23 octobre 2014 : 4 ème round des négociations: le gouvernement malien et les représentants des groupes politico-militaires de la région du nord du Mali acceptent “comme une base solide” un document de négociation comportant des éléments d’un accord de paix soumis par la médiation.
Le 20 novembre 2014 : Poursuite du 4ème round du dialogue intermalien inclusif, à huis clos, entre le gouvernement malien et les représentants des groupes politico-militaires de la région du nord du Mali ayant adhéré au processus de négociations sous la conduite de l’Algérie.
Le 22 janvier 2015 : Une réunion de concertation regroupant les représentants de l’équipe de la médiation, des mouvements du nord du Mali, du gouvernement malien et de la mission multidimensionnelle intégrée de l’ONU pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) s’est tenue à Alger.
Le 7 février 2015 : Le ministre des Affaires étrangères, M. Ramtane Lamamra, préside au nom de l’Algérie, en tant que chef de file, une réunion d’évaluation de l’équipe de médiation du dialogue intermalien.
Le 11 février 2015 : Une réunion entre le gouvernement malien et l’équipe de médiation internationale du dialogue intermalien se tient à Alger sous la présidence du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra et le Premier ministre malien, Modibo Keita.
Le 16 février 2015 : Le 5ème round du dialogue intermalien inclusif débute à Alger entre le gouvernement malien et les représentants des groupes politico-militaires du nord du Mali ayant adhéré au processus de négociations sous la conduite de l’Algérie.
Le 19 fév 2015 : Une Déclaration des parties au Processus de paix d’Alger a été signée jeudi à Alger par les différentes parties maliennes, sous l’égide d’une médiation internationale, dont l’Algérie est chef de fil.
Le 1 mars 2015: Paraphe d’un accord de paix et de la réconciliation sous la supervision de la médiation internationale, présidée par l’Algérie, en tant que chef de file, par le représentant du gouvernement malien et les mouvements politico-militaires du nord du mali engagés dans la plateforme d’Alger (le Mouvement arabe de l’Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l’Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR)).
Le 3 mai 2015: Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine (UA), a réitéré son plein appui à l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du Processus d’Alger réaffirmant son attachement à l’unité, à l’intégrité territoriale et à la souveraineté de du Mali.
Le 14 mai : La CMA paraphe l’accord de paix et de la réconciliation à Alger.
Le 15 : Signature officielle de l’accord de paix et de la réconciliation, issu du processus d’Alger, par le gouvernent malien et les mouvements politico-militaires du nord Mali.
APS
Source: radioalgerie.dz