Au Mali, les lignes ont du mal à bouger dans la résolution de la crise scolaire. Depuis la démission du gouvernement de Soumeylou B. Maïga, les enseignants grévistes se sont retrouvés sans interlocuteur. Le collectif des syndicats signataires de l’Education maintient son mot d’ordre de grève qui est en cours jusqu’au 17 mai prochain.
Boubou Cissé, nommé Premier ministre, il y a une semaine, poursuit encore les consultations de la classe politique et de la Société civile pour mettre en place un gouvernement « de large ouverture. »
Source: l’Indépendant