L’Union sportive de Bougouni a remporté la première édition de la coupe IBK au détriment de l’Entente sportive de Koutiala, sur le score de 4 buts à 1 aux tirs au but. En plus du trophée et des médailles d’or, Bouguni a empoché une enveloppe de 2 millions de Fcfa.

Dans le cadre de la célébration du troisième anniversaire de l’investiture du président Ibrahim Boubacar Keita à la tête de la magistrature suprême, la coordination régionale Rpm de Sikasso a mis en jeu une coupe en son nom. La finale de cette coupe s’est jouée le dimanche 18 septembre dernier au Stade Babemba de Sikasso. C’était en présence des membres du bureau politique national, des partis de la majorité et le ministre des Sports.

Dans un stade plein comme un œuf, les militants du Rassemblement pour le Mali ont favorablement répondu à l’appel des cadres régionaux. Lancée en début du mois d’août à Bougouni par les cadres de la coordination régionale Rpm de Sikasso, la première édition de la coupe IBK a enregistré la participation de 23 équipes de sept (7) cercles de la région. Après des phases éliminatoires directes, la finale s’est jouée entre l’US Bougouni et l’Entente sportive de Koutiala.

Durant les 90 minutes, les deux équipes déterminées à remporter le trophée, se sont neutralisées sur le score de 0 but partout. Il a fallu les tirs au but pour départager les deux équipes. Au final, l’US Bougouni gagne avec 4 buts contre 1 pour les joueurs de Koutiala.

Au titre des récompenses, les organisateurs ont donné une médaille au représentant du président de la République pour IBK et des médailles pour d’autres personnalités. L’équipe de Koumantou, qui a été classée 3e, a reçu des médailles d’argent et une enveloppe de 500. 000 Fcfa. Koutiala avec sa 2e place a reçu des médailles de bronze et une somme de 1. 500. 000Fcfa. L’équipe de Bougouni est partie avec la coupe et une somme de 2 millions de Fcfa. Toutes les équipes qui ont pris part à la compétition ont reçu des maillots. Des artistes comme Mylmo, Iba One, Mamou Sidibé et Dabara ont émerveillé le public.

Yado

Source: Le Débat