Un malfaiteur trop vicieux mis aux arrêts.
Les agents de la Plateforme de lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC) ont finit par mettre les grapins sur Latto Nomel Eugene Ahouanzi, ce jeune homme suspecté de chantage à la vidéo.
Les faits remontent en octobre 2015, ou la plaignante affirme avoir fait la connaissance de cet individu sur le réseau social facebook. Ensuite lors de leurs échangent, elle lui fait savoir qu’elle est en quête d’emplois. Celui-ci en bon ami, lui promet de lui trouver un travail en la mettant en contact avec une personnalité qui pourrait l’embaucher.
Il joint sa correspondante de Facebook le 24 decembre 2015 et lui annonce qu’il lui trouvé un entretient avec son prétendu contact à Dabou. A cette date, rien de plus beau qu’un cadeau de ce genre ne peut plaire à dame x. Pour faciliter la dite renconte, il lui propose de l’accompagner afin de lui présenter son probable nouvel employeur. Ayant déjà tout prévu, une fois arrivés dans la ville de Dabou, il la conduit dans un endroit discret et à l’aide d’une arme blanche, il oblige sa victime à avoir des rapports avec lui tout en filmant toute la scène. Il prend le soins une fois l’avoir liberée de lui envoyer une copie en la menaçant de tout diffuser sur les réseaux sociaux s’il lui venait à l’idée de le dénoncer.
Des mois plutard, les investigations ont permis de le localiser et de l’arrêter le 7 septembre 2016. Lors de son audition, l’accusé à asserté les faits tout en argumentant qu’il était réelement amoureux de cette dernière. Ne sachant pas comment le lui prouver, il a monté cette histoire de toute pièce.
A 35 ans, il risque d’énormes peines à savoir le viol avec violence, enregistrement illégal de vidéo à carractère pornographique et bien d’autres. Pas sûr qu’il aurait encore du temps pour lui montrer cet amour fou.