Quelques mois seulement après les événements du 18 Août 2020, les maliens découvrent (avec le temps qui est le meilleur juge), avec consternation, qu’ils furent manipulés à outrance par certains hommes politiques maliens en quête de virginité politique, avec la complicité de certains médias étrangers pour aboutir vaille que vaille à leur plan sordide contre le peuple malien. La déconfiture du M5-RFP et la déception du peuple vis à vis de certains acteurs de la contestation ne sont pas les seuls éléments qui mettent à nu le plan diabolique qui a été fomenté pour prendre le pouvoir. Chaque jour vient avec son lot de preuve de cette cabale contre l’Etat et le régime.
La dernière en date concerne M. Souleymane KEITA, chef de la Katiba du Sud, du sulfureux groupe terroriste ANSARDINE dirigé par Iyad AG AGHALI, dans laquelle rien n’a été épargné pour salir et déstabiliser la Sécurité d’État dans le seul but d’abattre le régime d’IBK.
En effet, suite aux attaques meurtrières perpétrées contre les garnisons de Misseni et Fakola par Souleymane Keita et ses hommes, les forces spéciales de la Sécurité d’État ont procédé à leurs interpellations le 29 Mars 2016 à la frontière entre le Mali et la Mauritanie et transférés dans leurs locaux en attendant la judiciarisation de leur dossier.
Pendant ce temps, en prélude aux élections législatives de Mars 2020, les ennemis du Mali et leurs complices nationaux ont relayé sciemment l’information selon laquelle, le chef de la Katiba du Sud Souleymane Keita a été libéré en février 2020 par la Sécurité d’État moyennant une forte somme d’argent. Sans aucune preuve tangible puisqu’il ne peut même pas en avoir, ils ont réussi à convaincre une partie du peuple de ce mensonge savamment monté au détriment de la SE qui hélas n’a ni les moyens ni la vocation de répondre à ce genre d’incrédulité.
L’objectif de ce fek News était très clair, discréditer et déstabiliser le seul rempart du régime d’IBK en l’occurrence les services de renseignement maliens afin d’arriver à leur fin.
Certains médias nationaux ont dénoncé en son temps à la place de la SE qui est malheureusement victime de son devoir de silence, cette forfaiture contre le Mali. Mais la force de destruction était trop grande et puissamment soutenue que rien n’a pu l’arrêter.
Comme dit- on, le temps est le meilleur juge. Le 13 novembre 2020, les maliens ont été médusés devant leurs écrans, en voyant comparaître ce chef terroriste devant la Cour d’assises de Bamako. Durant son procès, l’homme a reconnu les faits et affirmé être prêt à reprendre service pour la poursuite de ses missions s’il recouvrait sa liberté c’est à dire l’instauration de la charia au Sud du Mali.
À l’annonce du verdict, le sieur Souleymane Keita et ses co-accusés viennent d’être condamnés à la prison à perpétuité par la cour d’assises de Bamako. Nul n’a entendu les mêmes acteurs accusateurs d’hier se prononcer car il s’agit là du démenti sanglant apporté preuve à l’appui à leurs complots.
Comme dit cette maxime célèbre de chez nous: «quand on avance, on arrivera sans aucun doute à destination». Cette assertion vient d’être confortée une énième fois dans l’affaire dite Souleymane Keita.
Car, le tribunal du temps est implacable et vient encore une fois après les accusations de trafic de drogues dans le soi-disant rapport de l’ONU, de blanchir la Sécurité d’État du Mali dans cette affaire.
Vivement le prochain!
Dieu veille.
Source : Echos-Médias
*Le titre est de la rédaction
Source : INFO-MATIN