La vigilance reste de mise à Bamako face aux risques d’inondations, une information donnée le 17 septembre 2018 par la commission de gestion des eaux lors de sa réunion extraordinaire tenue dans la salle de réunion B7 de la direction nationale de l’hydraulique.
Le directeur national de l’hydraulique, président de la Commission « gestion des eaux » et son équipe était en réunion ce lundi 17 septembre pour échanger sur la situation hydrologique. En ce mois de septembre, on assiste à une crue exceptionnelle c’est-à-dire la montée du niveau des eaux avec de fortes pluies à Bamako et dans les régions et les risques d’inondations restent d’actualité.
La commission de gestion des eaux suit de très près les évolutions de la situation hydrologique et ceci pour orienter les populations et les préserver des catastrophes. Lors de ses différentes rencontres la commission fait le point des évolutions et déclare la situation qui prévaut en la matière.
En ce jour du 17 septembre 2018, la vigilance reste de mise selon le directeur national adjoint de l’Hydraulique, Djooro Bocoum. Il invite les populations riveraines à la prudence. L’agence nationale de la météorologie annonce les pluies jusqu’en fin septembre, les niveaux des eaux sont montées selon la direction nationale de l’Hydraulique, la retenue de Sélingué et le barrage de Markala enregistrent de grande montée des eaux ce qui les amènent à laisser passer les eaux remarquées dans le fleuve Niger.
Même si en cette date, la situation semble être bien sous parfaite contrôle de la Commission de gestion des eaux à travers sa campagne d’information et de sensibilisation, il n’en demeure pas moins qu’elle préfère sensibiliser et informer pour écarter tous désagréments liés aux inondations.
Et cette réunion d’information a regroupé l’ensemble des acteurs concernés à ne citer que l’agence nationale de la météorologie, de la direction de l’agriculture, compagnie de navigation, département de l’agriculture, représentants des usagers de l’eau, protection civile etc.
La rédaction
