Les organismes internationaux qui ont durci le ton vis avis du Mali vont devoir revoir leurs copies.

Les maliens depuis le 05 Juin ont entamé un combat de reprise de leur pays des mains de gouvernants qui ont carrément dérivés.

Après une lutte intelligente et soutenue du M5_RFP, le régime est déstabilisé et le pays est bloqué. Ce Mardi 18 Août 2020 l’armée decide de stopper la descente aux enfers d’un pays déjà failli. La méthode est claire, nette, pressante et payante enfin. Le président et son gouvernement sont minutieusement cueillis par des militaires qui ont pris toutes leurs responsabilités.

Le Mali est alors dans une impasse. Mais la démission du président de la république et la dissolution de l’Assemblée nationale par lui, ouvrent une nouvelle ère pour la nation.

Le Mali va pouvoir tranquillement glisser dans une transition. Il faut trouver maintenant un président de transition qui peut rassembler et écouter. Un premier ministre travailleur et engagé. Surtout il faut trouver de meilleurs critères pour la mise en place d’une constituante fiable et consciencieuse. Cela pour trois missions, négocier la paix, faire des réformes et relancer le Mali nouveau par des élections. Le reste du mandat pourrait servir à cela.

Le président IBK en acceptant de démissionner et en dissolvant l’Assemblée nationale a aidé son pays. Il lui a sûrement donné une chance d’échapper aux sanctions internationales.
Au moins nous allons lui reconnaître ce geste d’Adieu.

Moussa Sey Diallo, élu communal

Source: maliactu.info