Longtemps décrié par nos soins à cause de l’opacité qui entoure l’attribution de ces parcelles de la cité de la presse, L’Inter de Bamako et certains Directeurs de publication avaient saisi le ministre de la Communication, de l’Économie numérique et des Nouvelles technologies (Harouna Modibo Touré) à l’époque pour toute fin utile. Mais hélas ! La montagne a accouché d’une souris. Récemment nous avions reçu une plainte formulée par un confrère chargé de Communication, dans un département ministériel agissant au nom du président de l’Association des éditeurs de la presse privée écrite (ASSEP), alors qu’il n’a jamais occupé ce poste.
Pire ce qui fâche dans cette plainte judiciaire, un sans papier gagne le procès sans audience. C’est la greffière qui annonce le verdict. Dès lors nous avions fait l’analyse suivante: cher compatriote le Mali est une nation. Si les plus hautes autorités ne songent pas à faire le jugement de juges, car nul n’est au-dessus de loi, le prochain soulèvement du peuple malien concernera les juges à cause des mauvaises décisions de la justice. Autre chose qui agace c’est la peuplade de la justice.
Source : L’Inter De Bamako