La question autour du marche de la carte d’identité biométrique refait surface, un marche tant convoité par plusieurs sociétés de la place. Au moment ou les sociétés étaient orientées vers les marches de la CANAM, ainsi surgi la question de la carte d’identité biométrique . Certains operateurs qui suivent de prés cet appel d’offre , certains d’entre eux affirment la main sur la main sur le cœur que le ministre de la sécurité intérieure et de la protection civile le général Salif Traore aurait envoyé une correspondance a Cisse le jeudi 24 Aout 2017 pour lui dire de prendre la carte a 6000 FCFA l’unité.
On se pose la question quel est l’intérêt de Salif Traore dans cette affaire? Si Cisse Technologie accepte sa proposition, après Cisse technologie va négocier avec ses partenaires a aller dans ce sens. On dirait que le gouvernement malien, disons que les membres du gouvernement ne se concertent pas. Ce qui est étonnant le marche de la CANAM de 1 Milliards 900 millions, un marche en cours de résiliation. Mieux quelqu’un qui n’a pas honorer ses engagements pour ce marche de la CANAM et tant d’autres. Quelle garantie a t-on pour lui donner un marche de 100 Milliards de FCFA ce qui est étonnant ledit marche n’a pas été approuve, parce que le rapport de dépouillement n’a pas été signe par la DGMP.
C’est un certains Soukouna qui a fait une notification provisoire a Cisse, mais a quel titre ? En tout cas le souhait des maliens est d’avoir une carte d’identité a 2000 FCFA pas plus, exiger 6000 FCFA ou l’imposer alors que Tomota se propose de faire le travail, il est prêt a donne la carte a 3000 FCFA l’unité. Le même Cisse dans sa quête d’avoir le marche de la carte d’identité biométrique, il a tape a la porte du premier ministre. Mais c’était sans succès car le PM a refuse de le recevoir. Plusieurs cadres et responsables au niveau du ministère de la sécurité et de l’intérieure et de la protection civile donnent des documents confidentiels a Cisse. Mais ils sont en train d’aller contre la volonté des populations maliennes. Mais le dernier mot revient au gouvernement malien.
Sinaly KEITA
Source: Le Reporter