Même si depuis, certains organes de presse ont rouvert, les journalistes restés au pays travaillent dans des conditions difficiles selon les organisations de défense des droits de l’homme et des média.
Joint à Bruxelles en Belgique, l’un de ces journalistes exilés, Antoine Kaburahe qualifie de ‘’désastre’’ et de ”terrible régression” de la presse burundaise, ce qui s’était passé en mai 2015.
Pour Kaburahe, une centaine de journalistes forcés de fuir le pays se trouvent aujourd’hui poursuivis, soupçonnés d’avoir soutenu le coup d’Etat du général Godefroid Niabare contre le président Nkurunziza le 13 mai 2015.
Un an après, le calme est loin de revenir dans le pays, les assassinats continuent.
Source: BBC