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Bornefonden-Mali : le projet “Espoir pour la jeunesse rurale” s’achève avec un bilan positif

Le projet “Espoir pour la jeunesse rurale” a été initié et financé par l’ONG Bonefonden pour une durée de 3 ans. La cérémonie de clôture de ce projet qui a été initié exclusivement pour l’accompagnement des jeunes dans divers domaines a été présidée jeudi 1er décembre à l’hôpital Salam par le ministre de la Jeunesse et de la Construction citoyenne, Amadou Koïta. C’était en présence du directeur national de bornefonden, André Sinemenye ; de nombreux jeunes qui ont bénéficié du projet.

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Le projet Espoir pour la jeunesse rurale fait suite à un constat amère : l’incompétence et l’inexpérience professionnelle des jeunes et l’inadéquation de la formation aux exigences du marché de l’emploi. La plupart des jeunes, a  expliqué le directeur de bornefonden,  ne sont pas préparés pour affronter les aléas du marché de l’emploi.  Ce projet a été un palliatif à ce problème en faisant une bonne partie de la jeunesse malienne une opportunité de développement.

La  zone d’intervention du projet était les régions de  Koulikoro et Sikasso. Les principaux axes d’intervention sont entre autres, le développement des compétences de vie courante (CVC); la promotion des formations techniques et professionnelles et l’appui à l’insertion socio-professionnelle et économique.

Les résultats du projet, selon le directeur national de Bornefonden, sont positifs.

Au terme du projet, 10 954 jeunes ont été formés aux compétences de vie courantes; 1277 outillés pour leur insertion professionnelle; 1121 ont bénéficié d’une formation en management d’entreprise et 10172 jeunes entrepreneurs ont été appuyés dans le financement de leurs entreprises.

Ces résultats ont été salués par le ministre de la Jeunesse et de la Construction citoyenne pour qui le projet est en parfaite adéquation avec la vision du président de la République. Il a indiqué que les questions de jeunesse occupent une place de choix dans le programme du gouvernement.

Le ministre a conclu en rappelant que le domaine de formation et d’accompagnement de la jeunesse est très vaste et a besoin d’un accompagnement pointu des partenaires.

 

La rédaction 

 

 

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