Il faut rappeler que la Société d’Énergie du Mali (EDM) a aujourd’hui une dette d’exploitation de 180 milliards F CFA. Cette société est confrontée à la vétusté du réseau, à l’absence d’investissements et à une demande qui augmente de 10 % chaque année.
Avec cet investissement, il s’agit à court terme que les Maliens pâtissent moins de la période chaude, de fin février à juin, marquée par l’étiage de basses eaux.
Il faut à présent réduire les sources de délestage, dues principalement à des pannes sèches des groupes électrogènes qui ne sont pas suffisamment alimentés en combustibles, et la vétusté des postes de transit dont certains ont pris feu, ces derniers temps…