Le président congolais a eu des mots très durs à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, mardi 25 septembre. Joseph Kabila a réitéré son attachement aux valeurs défendues par l’ONU, tout en dénonçant l’ingérence de certains Etats. Et il a de nouveau demandé le début du départ effectif de la Monusco.
Vingt ans après le déploiement des forces onusiennes dans mon pays et en raison de leurs résultats largement mitigés au plan opérationnel, mon gouvernement réitère son exigence du début effectif et substantiel du retrait de cette force multilatérale.
RFI