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A l’actif du CSDM, le Mali à l’honneur à Paris lors du Forum des Diasporas africaines

Sous le haut parrainage du président Emmanuel Macron, se tient aujourd’hui à Paris le Forum des Diasporas africaines. Ainsi, plus d’une centaine de personnalités de premier plan et venues de plusieurs pays, chefs d’entreprises, représentants institutionnels et politiques, membres d’associations et de clubs économiques, d’origine africaine, française et européenne, apporteront leur témoignage et partageront leur expertise au Palais des Congrès de Paris lors du forum des diasporas africaines, tout au long de la journée de ce vendredi 22 juin 2018.  Parmi les personnalités qui apporteront leur concours, on peut notamment citer Ousmane Tanor DIENG, président du Haut conseil des collectivités territoriales du Sénégal, Chakib BENMOUSSA, ambassadeur du Maroc et Miguel Angel MORATINOS, ancien ministre espagnol des Affaires étrangères. Le Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne (CSDM), une des structures, chargée de l’organisation de la rencontre a invité M. Soumeylou Boubèye Maïga, Premier ministre malien pour aussi apporter sa contribution. Ces personnalités relèveront de leur présence les séances d’ouverture et de clôture aux côtés des représentants des partenaires.

Entrepreneuriat, financement, innovation, emploi, co-entreprises, ce sont autant de thèmes qui seront abordés en cette journée du vendredi 22 juin, au cours de conférences et ateliers qui témoigneront de l’importance des diasporas en tant qu’acteurs du développement économique de l’Afrique ayant des conséquences vertueuses pour l’Europe.

Des représentants de la BAD, de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) et de la Direction générale de la coopération internationale et du développement de la Commission européenne (DG DEVCO) présenteront également les plus récents développements institutionnels en faveur des porteurs de projets et du Co-développement en lien avec l’Afrique.

Mais le Forum des Diasporas Africaines, ce sont aussi de nombreux espaces d’expressions et de solutions ouverts à tous. Un arbre à palabre, où les porteurs de projets pourront présenter leurs idées à un large public d’entrepreneurs et d’investisseurs, un espace job-dating où postuler en direct à de nombreuses offres d’emplois en lien avec l’Afrique, un parcours d’accompagnement à la création d’entreprises avec les experts de la CCI Paris Île-de-France, une place des financements où la Banque Postale récompensera le meilleur « pitcheur » de projet, un espace consacré à l’immobilier africain et autres.

De nombreuses associations ont aussi réservé des espaces pour se rencontrer et échanger, au-delà des frontières. C’est donc une journée riche en idées nouvelles, en concrétisation de projets et en construction de réseaux qui s’annonce ainsi à Paris.

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Chapeau à la CPS «Culture et Jeunesse»

 

Il ressort de la revue 2017 du CREDD, qu’à la date du 1ier juin 2018, sur les 11 cellules de Planification et de statistiques (CPS), seule la CPS « Culture et Jeunesse » a tenu sa revue sectorielle dans les délais, c’est-à-dire avant le 20 avril 2018. Le secteur « Santé, développement social et promotion de la famille » a aussi tenu la session technique de sa revue dans les délais, même si la session politique s’est tenue hors délai, soit le 4 mai 2018. Les 9 autres ont tenu leurs revues sectorielles du 30 avril au 1ier juin 2018, donc, hors délai. Ce retard a influé négativement sur la tenue à bonne date de la Revue CREDD, ODD et SCAP. Le respect de ce calendrier reste une condition indispensable pour assurer la cohérence entre le processus de planification stratégique et  celui de la préparation et du suivi de l’exécution du budget. Alors, chapeau à la CPS « Culture et Jeunesse » pour la tenue à bonne date de la revue.

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PLATEFORME ENSEMBLE POUR LE RENOUVEAU : pour régler les problèmes des Maliens, Aliou Diallo veut investir 15 000 milliards de F CFA

 

Pour la présidentielle du mois prochain, la plateforme Ensemble pour le Renouveau (ERE)  vient de signer une convention autour du candidat de l’ADP-Mali, Aliou Diallo. La cérémonie de signature s’est déroulée  le dimanche 17 juin 2018 au siège d’ADP Maliba ; cette plateforme regroupe une vingtaine de partis politiques  et  plus de 2000 associations ainsi que des mouvements. La cérémonie de signature a réuni Aliou Diallo, candidat de la plateforme, Amadou Thiam, Président de l’ADP-Mali, Ras Bath, porte-parole du CDR et les représentants des différents partis et associations de l’ERE.

L’alliance a pour objectif de conjuguer les efforts pour assurer l’élection du candidat Aliou Diallo le 29 juillet  2018  au poste de président de la république, œuvrer  ensemble pour assurer une large majorité parlementaire au président élu Aliou Diallo, au renforcement des acquis démocratiques, la cohésion nationale, l’intégrité territoriale, la paix et la stabilité politique a dit le maitre de cérémonie.

Honorable Amadou Thiam actuel président du parti ADP Maliba a souligné qu’ADP Maliba est un nouveau parti mais aussi un grand parti et avec cette nouvelle alliance on n’a pas le moindre doute qu’on sera élu dès le premier tour de l’élection.  Le candidat   n’est plus à présenter à travers ses œuvres, il a eu à créer des milliers d’emploi, aujourd’hui c’est une référence en matière de l’énergie renouvelable c’est une fierté pour le Mali, un héros mondial  qui crée des milliers d’emploi  et a aussi investi 250 milliards de F CFA pendant 30 ans dans le pays a martelé le député Thiam.  Selon le président du collectif pour la défense de la république,  Ras Bath qui a pris le train en marche, il  a aussi témoigné que la candidature d’ Aliou au-delà de la plateforme est un plus enrichissant la démocratie malienne, il a ajouté qu’après Mamadou Battrou Diaby en 1997, on n’a pas vu un opérateur économique se lancer à la conquête du pouvoir.  En prenant la porale, le candidat Aliou Diallo a expliqué à l’assistance comment sera investi  15000 milliards de FCFA en cinq ans. Il  a, d’abord, priorisé la question de retour de la paix au Mali dont il promet 2000 milliards de FCFA pour la recherche de la paix au centre et au  nord du pays. Ensuite, le candidat de l’ADP-Mali s’est misé la promotion de l’entreprenariat des jeunes et des femmes avec une proposition d’accompagnement de la création  20 000 nouvelles entreprises a l’horizon 2023.  Pour la lutte contre la corruption et mauvaise gouvernance selon Diallo aucun secteur privé ne peut se développer dans un climat de corruption, de népotisme et de clientélisme et il cite « nous ne pouvons plus continuer avec un système qui ferme les yeux sur les rapports du versificateur général. Selon le rapport du VEGAL plus de 357 milliards de FCFA de détournés en cinq ans, trop c’est trop je dis non » en ce sens il promet d’améliorer les conditions de travail ainsi que la rémunération des fonctionnaires de l’Etat «  nous avons donc consacré 200 milliards supplémentaires à l’amélioration des conditions de travail des fonctionnaires de l’Etat ». Le candidat d’ADP Maliba a promis  d’investir 2000 milliards en cinq ans pour le développement des infrastructures tout en dénonçant l’insuffisance de routes, d’écoles et de centre de santé. Enfin le candidat du parti a annoncé un programme de retour des bras valides et a aussi proposé outre que les maliens de l’extérieur soient impliqués à tous les niveaux : législatif et dans le développement du secteur privée.

LA RENTREE SOLENNELLE DES AUDITEURS DE JUSTICE, PROMOTION 2018 : « Au concours, la transparence sera désormais le genre de la maison ;  les fraudes et les passe droits appartiennent au passé » dixit le Ministre de la Justice

La promotion 2018 des auditeurs de justice a célébré, le lundi 18 juin 2018 dans la cour de l’institut National de Formation Judiciaire (INFJ), la rentrée solennelle de la dite promotion. La cérémonie de célébration présidée par le ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Hamidou Younoussa Maïga a eu lieu en présence de Nouhoum Tapily, président de la Cour Suprême, Toubaye Koné, Directeur général de l’INFJ et M. Kamaté, Directeur national de l’administration de la  justice. Ont également pris part à cette importante cérémonie les hautes autorités judiciaires, les membres du conseil supérieur de la magistrature, les autorités politiques et administratives.  La promotion 2018 comprend 40 auditeurs de justice, 30 pour l’ordre judiciaire dont un docteur endroit et deux féminins et 10 pour l’ordre administratif dont un docteur et un féminin. Le démarrage des cours est prévu le 2 juillet 2018. La formation durera 24 mois.  Selon Toubaye Koné,  Directeur général de l’INFJ, l’école a pour ambition de former des femmes et hommes capables d’assumer au plus haut niveau d’exigence et d’excellence possible  les immenses pouvoirs et  responsabilités que la société  va leur confier. Il a poursuit en disant que l’école n’est pas une école ordinaire compte tenu de la délicatesse de sa mission. Car, explique-t-il, elle est le seul institut au Mali chargé de la formation initiale et continue de l’ensemble des acteurs de justice.  Dans les jours à venir, souligne le Directeur général de l’INFJ, vous prêterez serment, l’un après l’autre de « garder religieusement le secret professionnel et de vous conduire en tout moment un digne et loyal auditeur de justice. Ce rite de passage dans le monde judiciaire vous permettra  désormais d’accéder au cœur de l’office du magistrat, non seulement aux dossiers judiciaires eux-mêmes, mais aussi à toutes les audiences et surtout aux délibérés des juges. Cette prestation de serment vous donnera aussi l’occasion pour la première fois de revêtir la robe de magistrat, l’épitoge en moins. Dans son introduction, le ministre en charge de la Justice, Hamidou Younoussa Maïga, avec une grande émotion, a fait savoir que des auditeurs de justice de la promotion 2018 seront des cadres valables sur le plan intellectuel. Car, disait-il, certains candidats à l’oral ont échoué avec une moyenne de 12,50/20. Le ministre Maïga a félicité le succès largement mérité des auditeurs de justice de la promotion 2018. Il a pensé aussi à deux catégories de candidats qui n’ont pu accéder à ces places prestigieuses. Le premier groupe est constitué de ceux qui ont bien travaillé, qui ont eu des moyennes honorables, mais qui ont échoué parce que les places disponibles étaient très limitées. Le ministre de la Justice et Garde des sceaux a encouragé  ce groupe  à doubler d’effort car ils gardent leurs chances d’arracher des victoires dans les prochains concours.

Le deuxième  groupe est constitué de ceux qui étaient persuadés qu’ils n’avaient aucune chance,  car, se fondant sur des expériences passées n’avaient aucune confiance dans la sincérité du concours. Pour cette raison, ces candidats n’ont fait aucun effort pour réussir. A ce groupe, M. Maïga dira que les fraudes et les passe droits appartiennent au passée. Il a, donc,  invité ce groupe aussi à mieux se préparer pour les concours prochains, car, dit-il, la transparence sera désormais le genre de la maison.  Par ailleurs, une opportunité historique s’offre à nous aujourd’hui, dira  le ministre Hamidou Younoussa Maïga, par l’engagement des PTF à assister le Mali dans l’œuvre de modernisation de notre appareil judiciaire. La coopération internationale a contribué grandement au renforcement des infrastructures de l’institut, notamment la construction en cours d’un amphithéâtre de 600 places, d’une cafétéria et une bibliothèque. A cela s’ajoute une salle vidéoconférence moderne, financée par l’Union Européenne. Le changement tant souhaité passe nécessairement par l’amélioration de la qualité de la formation de nos magistrats. C’est pourquoi un des axes majeurs de notre stratégie est bâti autour de l’INFJ, appelé à devenir un puissant outil de modernisation du système judiciaire.

Source: infosepte

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